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Cinq Garçons dans le vent (Backbeat)

Jeudi 09 Mai à 08:00 | Cinépop

G.-B. 1993. Drame biographique de Iain Softley avec Stephen Dorff, Sheryl Lee, Ian Hart. Après s'être amouraché d'une jeune photographe, le bassiste d'un groupe de rock'n'roll abandonne la musique pour se consacrer à la peinture. Évocation des débuts du groupe les Beatles. Nombreux numéros musicaux. Réalisation de métier. Interprétation inégale.

13 ans +
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Cinq Garçons dans le vent (Backbeat)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1993. Drame biographique de Iain Softley avec Stephen Dorff, Sheryl Lee, Ian Hart.

Après s'être amouraché d'une jeune photographe, le bassiste d'un groupe de rock'n'roll abandonne la musique pour se consacrer à la peinture. Évocation des débuts du groupe les Beatles. Nombreux numéros musicaux. Réalisation de métier. Interprétation inégale.

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Universal
En 1960 a Liverpool, John Lennon convainc son ami Stuart Sutcliffe de se joindre à son groupe de rocKn'roll, les Beatles, en tant que bassiste. Egalement composé de Paul McCartney, George Harrison et Pete Best, le groupe se rend a Hambourg où il se produit dans les clubs des quartiers chauds. Un soir, la photographe Astrid Kirchherr rencontre Stuart et en tombe tout de suite amoureuse, au grand dam de John. Peu après, le bassiste décide de tout quitter pour vivre avec Astrid et se consacrer à la peinture. Il meurt le 10 avril 1962 d'une hémorragie cérébrale, alors que les Beatles remportent leurs premiers succès.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette oeuvre à demi-réussie a le mérite de faire sortir de l'ombre un personnage méconnu de l'histoire des "Fab Four", tout en faisant revivre la difficile période d'apprentissage du groupe dans un Hambourg mal famé. La relation, pour le moins ambiguë, entre John Lennon et Stuart Sutcliffe est habilement exploitée et suscitera à coup sûr la discussion. Mais en insistant trop sur cet aspect, les auteurs nient l'importance réelle des autres musiciens du groupe, relégués à des rôles de figurants. Le film souffre par ailleurs d'une mise en scène banale et peu enthousiasmante qui sait rarement mettre en valeur les nombreux passages musicaux. Au surplus, le jeu convaincant de Sheryl Lee et de Ian Hart fait apparaître bien mollasson celui de Stephen Dorff.

Texte : Louis-Paul Rioux

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