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My Boyfriend's Back

É.-U. 1993. Comédie fantaisiste de Bob Balaban avec Andrew Lowery, Traci Lind, Danny Zorn. Peu de temps après sa mort, un adolescent quitte sa tombe afin d'amener sa petite amie au bal des finissants. Scénario incohérent. Mélange de genres maladroit. Réalisation molle. Interprétation insignifiante.

Général
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My Boyfriend's Back (My Boyfriend's Back)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie fantaisiste de Bob Balaban avec Andrew Lowery, Traci Lind, Danny Zorn.

Peu de temps après sa mort, un adolescent quitte sa tombe afin d'amener sa petite amie au bal des finissants. Scénario incohérent. Mélange de genres maladroit. Réalisation molle. Interprétation insignifiante.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Depuis son enfance, Johnny est secrètement amoureux de Missy. Malheureusement, la belle en fait peu cas, lui préférant le vaniteux Buck. L'adolescent imagine alors de mettre en scène avec un ami un hold-up dans l'épicerie où travaille Missy et, au moment opportun, Johnny se présenterait en héroïque sauveur. Mais voilà, un véritable bandit fait irruption et abat le jeune homme qui a juste le temps d'inviter Missy à la fête des finissants avant de mourir. Subjugué par l'acquiescement de sa douce, Johnny décide de quitter sa tombe afin de l'amener au bal. Cependant d'ici là, le zombie devra faire face à la vindicte populaire qui lui reproche de devoir se sustenter de chair humaine afin d'éviter que son corps ne se dégrade.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est devenu courant que le cinéma américain s'inspire à môme la bande dessinée pour y puiser l'un ou l'autre sujet. De l'intrigue sentimentale à l'eau de rose, style "Archie", à l'horreur de "Tales From the Crypt", en passant par la satire façon "Mad", on peut se demander lequel de ces genres est ici le plus malmené. Non content de ne jamais vraiment trouver ses marques et un ton qui lui est propre, le récit ne tient absolument pas debout à cause de ses incohérences scénaristiques. Le résultat d'ensemble est plutôt navrant et la mollesse de la réalisation donne à croire que le metteur en scène n'était pas plus convaincu qu'il ne le fallait de son produit. Au mieux, les interprètes cabotinent sympathiquement, au pire, ils font preuve d'une totale insignifiance.

Texte : Christian Depoorter

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