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Un Cadavre sur le Campus (Dead Man on Campus)

É.-U. 1998. Comédie de Alan Cohn avec Tom Everett Scott, Mark-Paul Gosselaar, Poppy Montgomery. Deux collégiens peu studieux découvrent l'existence d'un règlement selon lequel tout étudiant obtient la note de passage si son camarade de chambre décède. Humour noir traité de façon juvénile et bêtifiante. Réalisation anonyme et banale. Comédiens peu inspirés.

13 ans + (langage vulgaire)
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Un Cadavre sur le Campus (Dead Man on Campus)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1998. Comédie de Alan Cohn avec Tom Everett Scott, Mark-Paul Gosselaar, Poppy Montgomery.

Deux collégiens peu studieux découvrent l'existence d'un règlement selon lequel tout étudiant obtient la note de passage si son camarade de chambre décède. Humour noir traité de façon juvénile et bêtifiante. Réalisation anonyme et banale. Comédiens peu inspirés.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Il existe dans la charte du collège de Daleman une clause un peu spéciale qui stipule que tout étudiant dont le camarade de chambre décède obtient automatiquement la note de passage. Lorsque les deux copains Josh et Cooper découvrent qu'ils sont sur le point d'échouer leurs cours, ils décident de se trouver un troisième colocataire aux tendances suicidaires dans l'espoir de tirer profit de ce règlement académique inusité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Certaines statistiques font état d'un nombre élevé de suicides chez les étudiants en période d'examens scolaires. Les auteurs de ce film abordent le problème sous l'angle de l'humour noir. Il ne faut donc pas chercher ici une oeuvre pertinente du point de vue psychologique ou sociologique. Au contraire, le film pond des clichés et des stéréotypes avec une surprenante productivité. Il s'agit, on s'en doute bien, d'une comédie primaire destinée à divertir sans effort un public d'adolescents peu regardant sur la qualité. Si le film jouait à fond la carte de l'humour noir, on pourrait au moins y rire jaune. Mais les auteurs optent plutôt pour un traitement juvénile, inoffensif et bêtifiant qui ne possède pas le moindre mordant. Les gags sont simplistes et les personnages soit insipides, soit caricaturaux. Quant à la réalisation, on ne pourrait pas faire plus anonyme et banale, même en se forçant. Les comédiens s'avèrent peu inspirés.

Texte : Martin Girard

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