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M. Jones (Mr. Jones)

É.-U. 1993. Comédie dramatique de Mike Figgis avec Richard Gere, Lena Olin, Delroy Lindo. Une jeune psychiatre peu heureuse dans sa vie affective succombe au charme d'un maniaco-dépressif. Sujet assez limité mais intelligemment amené. Quelques situations cocasses. Mise en scène nerveuse. Interprétation énergique de R. Gere.

Général
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M. Jones (Mr. Jones)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie dramatique de Mike Figgis avec Richard Gere, Lena Olin, Delroy Lindo.

Une jeune psychiatre peu heureuse dans sa vie affective succombe au charme d'un maniaco-dépressif. Sujet assez limité mais intelligemment amené. Quelques situations cocasses. Mise en scène nerveuse. Interprétation énergique de R. Gere.

Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Columbia
La première journée de travail sur un chantier de construction de M. Jones se termine à l'hôpital psychiatrique après qu'il se soit pris pour un avion quand il était sur le sommet du bâtiment. Dans l'institution, il fait la connaissance de la charmante psychiatre Libbie Bowen qui semble intriguée par la personnalité de Jones. Peu heureuse dans sa vie affective, la jeune femme succombe aux charmes du maniaco-dépressif lorsque celui-ci est envoyé une deuxième fois chez elle après avoir perturbé un concert. Cette situation contraire à l'éthique oblige Libbie à se confier à un collègue qui l'oblige à ne plus revoir son patient. Jones sombre alors dans une intense déprime qui le pousse à tenter une nouvelle fois de voler.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Construit apparemment pour la vedette principale, le scénario tient très bien la route dans sa première partie. Le rythme est incisif, les situations cocasses et intelligemment amenées, les réparties amusantes et Richard Gere déborde d'une énergie communicative. Malgré le potentiel que recèle la relation médecin-patient, le sujet atteint assez vite ses limites. Cette mixture de romance et de drame médical connaît une chute de tension dès que les motivations des protagonistes se font plus évidentes. Ce n'est certes pas la faute aux comédiens qui y mettent le meilleur d'eux-mêmes, ni sans doute celle de la mise en scène aussi nerveuse que son héros. Cela tient plutôt à la prévisibilité des développements bâtis autour de données malheureusement trop minces.

Texte : Christian Depoorter

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