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Autoroute 61 (Highway 61)

Can. 1991. Comédie dramatique de Bruce McDonald avec Don McKellar, Valerie Buhagiar, Earl Pastko. Un jeune barbier un peu naïf conduit à La Nouvelle-Orléans une vagabonde en fuite qui transporte de la drogue volée. Regard complaisant et maniéré sur le kitch américain. Ensemble d'un intérêt fort inégal. Réalisation manquant d'assurance et de précision. Interprétation assez convaincante.

13 ans +
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Autoroute 61 (Highway 61)

13 ans + 13 ans +

Can. 1991. Comédie dramatique de Bruce McDonald avec Don McKellar, Valerie Buhagiar, Earl Pastko.

Un jeune barbier un peu naïf conduit à La Nouvelle-Orléans une vagabonde en fuite qui transporte de la drogue volée. Regard complaisant et maniéré sur le kitch américain. Ensemble d'un intérêt fort inégal. Réalisation manquant d'assurance et de précision. Interprétation assez convaincante.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Max Films
Dans une petite ville du nord de l'Ontario, un jeune barbier, Pokey, découvre le cadavre d'un inconnu dans son arrière-cour. La nouvelle, qui fait la une du journal local, attire l'attention de Jackie, une vagabonde en fuite qui transporte de la drogue volée. Se faisant passer pour la soeur du défunt, elle récupère le corps et prétend devoir se rendre à la Nouvelle-Orléans pour l'inhumation. En fait, elle veut faire passer la drogue aux Etats-Unis en la cachant dans le cadavre. Naïf et serviable, Pokey prend Jackie en pitié et lui offre de la conduire à destination en mettant le cercueil sur le toit de sa vieille bagnole. Au cours du voyage, Pokey s'aperçoit que Jackie est une criminelle, mais il en tombe amoureux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fasciné par le kitch de la sous-culture américaine, Bruce McDonald y pose un regard complaisant et maniéré, marqué d'une recherche factice du bizarre. Toute la première partie, située au Canada, est amusante et pittoresque, mais la suite est d'un intérêt fort inégal. En fait, le récit manque de souffle et d'originalité et s'égare dans des péripéties souvent fastidieuses. Certains passages demeurent pourtant assez intrigants, en partie grâce à la relation qui lie les deux protagonistes au caractère opposé. La réalisation n'est pas des plus maîtrisées: elle manque d'assurance et de précision. Les deux principaux interprètes sont assez convaincants.

Texte : Martin Girard

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