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Ace Ventura - L'Appel de la nature (Ace Ventura: When Nature Calls)

Vendredi 24 Mai à 01:00 | TBS

É.-U. 1995. Comédie de Steve Oedekerk avec Jim Carrey, Ian McNeice, Simon Callow. Un détective facétieux, spécialisé dans la recherche d'animaux disparus, doit retrouver une chauve-souris sacrée qui a été volée à une tribu africaine. Suite de saynètes conçues pour mettre en valeur le comédien vedette. Quelques bons gags. Ensemble manquant d'imagination. Pitreries lassantes de J. Carrey.

Général
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Ace Ventura - L'Appel de la nature (Ace Ventura: When Nature Calls)

Général Général

É.-U. 1995. Comédie de Steve Oedekerk avec Jim Carrey, Ian McNeice, Simon Callow.

Un détective facétieux, spécialisé dans la recherche d'animaux disparus, doit retrouver une chauve-souris sacrée qui a été volée à une tribu africaine. Suite de saynètes conçues pour mettre en valeur le comédien vedette. Quelques bons gags. Ensemble manquant d'imagination. Pitreries lassantes de J. Carrey.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Steve Oedekerk
D'après l'oeuvre de Jack Bernstein
Photographie :
Musique :
Montage :
En Afrique, le chef de la tribu des Wachati s'apprête à célébrer le mariage de sa fille avec un guerrier d'une autre tribu. Or, la chauve-souris sacrée des Wachati a été volée, ce qui non seulement compromet la tenue de la noce, mais risque également de provoquer une guerre tribale. Pour parer à cette éventualité, le consul britannique fait appel à Ace Ventura, un détective américain facétieux spécialisé dans la recherche d'animaux disparus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier épisode des aventures de l'irrévérencieux limier fut un formidable tremplin pour la carrière de Jim Carrey. Ce dernier peut donc dorénavant imposer ses vues aux producteurs, si bien que ce deuxième volet se présente plus que jamais comme une suite de saynètes qui n'ont d'autre but que de mettre en valeur le comédien vedette. Par conséquent, l'intrigue somme toute banale et convenue est reléguée au second plan, à l'instar des personnages secondaires, épisodiques et inconsistants. Mis à part une ouverture qui ne manque pas de panache, la réalisation se montre avare d'imagination et de rythme. Quelques gags font mouche mais plus le film avance, plus les contorsions faciales et les pitreries de Carrey deviennent lassantes.

Texte : Louis-Paul Rioux

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