[George Miller] a su faire de Lorenzo's Oil l'un des meilleurs films de la saison en traitant intelligemment le combat d'Augusto et Michaela Odone (Nick Nolte et Susan Sarandon, tous deux excellents). (...) Pour dramatiser ce combat de David contre Goliath, Miller a conçu son film comme un grand livre d'images - une sorte de conte de fées (joliment illustré par John Seale) (...). (Texte paru en 1993)

Ce film intense et bouleversant en racontant une remarquable course contre la montre, est une vibrante leçon de tenacité et de persévérance. (...) La touche mélodramatique n'enlève rien à la véracité et à la crédibilité de ce film courageux. Très bonne prestation des acteurs.(Texte paru en 1993)

(...) director George Miller (...) has created a profoundly moving story of parental devotion that makes a passionate case against obedience to the medical democracy. (...) Nolte gives a tremendous performance as the indefatigable father (...).

Lorenzo's Oil thrillingly demystifies the intricacies of scientific inquiry. (...) Still, whatever its flaws, there has never been a medical drama quite like Lorenzo's Oil. With indelible fervor, it captures the will - the need - to heal. (Texte paru en 1993)

Screenwriters George Miller and Nick Enright have magnificently tapped the real juices of this tough and transcendent story. (...) Miller's technical assurance is symphonic and surgical: The film's cinematic synapses - camera movement and cuts - are splendidly stitched. (Texte paru en 1992)