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Nation secrète (Secret Nation)

Can. 1992. Drame politique de Michael Jones avec Cathy Jones, Mary Walsh, Michael Wade. Quarante ans après que Terre-Neuve se fut joint au Canada, une étudiante en histoire est intriguée par les controverses entourant cet événement. Téléfilm à l'idée de base intéressante mais insuffisamment exploitée. Traitement éparpillé. Suspense manquant de ressort. Interprétation correcte.

Général
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Nation secrète (Secret Nation)

Général Général

Can. 1992. Drame politique de Michael Jones avec Cathy Jones, Mary Walsh, Michael Wade.

Quarante ans après que Terre-Neuve se fut joint au Canada, une étudiante en histoire est intriguée par les controverses entourant cet événement. Téléfilm à l'idée de base intéressante mais insuffisamment exploitée. Traitement éparpillé. Suspense manquant de ressort. Interprétation correcte.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cinéma libre
Récompenses
Etudiante en histoire à l'université McGill, Frieda Vokey consacre sa thèse de doctorat au référendum terre-neuvien de 1949 au cours duquel les insulaires votèrent en faveur de leur adhésion au Canada. La jeune femme retourne vivre à St-John's, sa ville natale, afin d'y poursuivre ses recherches. La mort récente de Leo Cryptus, un politicien impliqué de près dans la conduite du fameux référendum, provoque une certaine agitation dans l'Ile, comme si ce drame réveillait de vieux fantômes. Frieda se doute bien que les archives personnelles du défunt doivent receler des informations précieuses. Mais elle devra surmonter bien des obstacles avant d'y avoir accès.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les longs métrages en provenance de Terre-Neuve sont chose rare, si bien qu'on découvre celui-ci avec un intérêt et une curiosité qui nous incitent à l'indulgence. L'enquête de l'héroïne, qui débouche sur de la politique-fiction, est traitée comme une histoire de détective non dépourvue d'humour. Visiblement peu fortunée, la production contient des maladresses techniques et s'avère pour le moins brouillonne. Et pourtant il faut reconnaître que l'intérêt du spectateur est maintenu malgré tout, car les auteurs font preuve d'un enthousiasme et d'une conviction qui rachètent bien des faiblesses, même si le film reste trop bancal pour constituer une véritable réussite. L'interprétation est plutôt inégale.

Texte : Martin Girard

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