Pour raconter l'histoire de David Helfgott, [Scott Hicks] bénéficie (...) d'un beau plateau: Noah Taylor (le héros adolescent, très touchant), Geoffrey Rush (le même, "adulte", prodigieux), Armin Müller-Stahl (...) [et] Sir John Gielgud.

Director Hicks, perhaps in deference to his subject (...) declines to treat the mental disorder as tragic. Instead, he bends over backward to treat it as either comic or as something too precious to be named.

L'histoire est forte (...) [et] aurait mérité pudeur et sobriété. Scott Hicks, au contraire, ne cesse d'en rajouter. Pas un épisode de la vie de David qui ne soit souligné, voire martelé, à coup de ralentis, d'effets visuels et sonores. La figure du père (...) tourne à la caricature.

Casting of the three actors playing David has been most skillfully accomplished so that the character convincingly grows and matures as the film expands. Taylor essays the difficult transitional teenage period with rare skill and humor.

(...) la technique est parfaite et (...) le résultat excellent. (...) L'interprétation est tout à fait remarquable, dominée par Armin Mueller-Stahl et Geoffrey Rush.