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Les Maris, les femmes, les amants

Fr. 1989. Comédie de moeurs de Pascal Thomas avec Jean-François Stévenin, Susan Moncur, Clément Thomas. Les tribulations d'un groupe d'amis qui passent leurs vacances à l'île de Ré avec leurs enfants, alors que leurs épouses restent à Paris. Caricature drôle et mordante d'un certain milieu bourgeois. Scénario manquant parfois de concision. Ensemble charmant. Interprétation dans le ton voulu.

Général
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Les Maris, les femmes, les amants (Les Maris, les femmes, les amants)

Général Général

Fr. 1989. Comédie de moeurs de Pascal Thomas avec Jean-François Stévenin, Susan Moncur, Clément Thomas.

Les tribulations d'un groupe d'amis qui passent leurs vacances à l'île de Ré avec leurs enfants, alors que leurs épouses restent à Paris. Caricature drôle et mordante d'un certain milieu bourgeois. Scénario manquant parfois de concision. Ensemble charmant. Interprétation dans le ton voulu.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Dora conduit son fils Clément à la gare où l'attendent Martin, son mari, et deux jeunes nièces insupportables. La petite famille s'en va à l'île de Ré où elle rejoint des amis qui, pour la plupart, y passent des vacances en célibataires. Restant à Paris, Dora revoit sa fille Emilie et d'autres amies, toutes embarrassées par des problèmes sentimentaux. À Ré, les hommes profitent de leurs vacances pour faire de nouvelles rencontres galantes, imités en cela parleurs enfants. Mais voici que les femmes finissent par débarquer à leur tour, curieuses de voir ce que deviennent leurs proches.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Une fois de plus, dans un style typiquement français, mélangeant la charge corrosive à la drôlerie et à la tendresse, Pascal Thomas égratigne de façon irrésistible les jeunes et vieux enfants que sont les personnages sympathiques de cette caricature d'un certain milieu bourgeois à la recherche de son bonheur. Malgré un scénario qui semble parfois manquer de concision et de légèreté et, même si bon nombre de situations de cette dérive sentimentale sont un tant soit peu forcées, la saveur des répliques et le charme désuet de la nostalgie sous-jacente donnent au film un air de fraîcheur délicieux. L'interprétation est dans le ton voulu.

Texte : Christian Depoorter

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