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Killer Kondom (Kondom des Grauens)

All. 1996. Comédie policière de Martin Walz avec Udo Samel, Peter Lohmeyer, Leonard Lansink. À New York, un détective gay enquête sur les mystérieuses castrations dont sont victimes les clients d'un hôtel miteux. Récit scabreux et abracadabrant inspiré d'une bande dessinée. Quelques moments amusants. Technique assurée. Réalisation molle. Jeu caricatural.

16 ans +
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Killer Kondom (Kondom des Grauens)

16 ans + 16 ans +

All. 1996. Comédie policière de Martin Walz avec Udo Samel, Peter Lohmeyer, Leonard Lansink.

À New York, un détective gay enquête sur les mystérieuses castrations dont sont victimes les clients d'un hôtel miteux. Récit scabreux et abracadabrant inspiré d'une bande dessinée. Quelques moments amusants. Technique assurée. Réalisation molle. Jeu caricatural.

Année :
Durée :
Réalisation :
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Distributeur :
K-Films Amérique
Le détective homosexuel Luigi Mackaroni enquête sur une étrange série d'agressions sexuelles dans un hôtel miteux de New York. Les victimes, tous des hommes, ont été mystérieusement castrées. Mackaroni décide donc de passer une nuit dans l'immeuble avec un jeune prostitué. Il découvre que des condoms vivants, munis de dents acérées, rôdent dans les chambres. Il se fait lui-même arracher un testicule par une des créatures. Il doit à tout prix retrouver l'origine des monstres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dès les premières scènes, cette adaptation d'une bande dessinée allemande particulièrement provocante promet d'être aussi irrévérencieuse et grinçante que son modèle. Malheureusement, le plaisir ne dure pas. Le film se présente d'abord comme une satire mordante des films policiers à caractère sexuel comme SEVEN ou BASIC INSTINCT, mais le ton se travestit brusquement en cours de route pour nous faire avaler une enfilade de scènes indigestes parodiant JAWS, PSYCHO, ALIENS,THE GODFATHER et même la fin de CASABLANCA (!). La satire et la provocation s'effacent donc devant un récit scabreux et totalement abracadabrant, qui parvient malgré tout à retenir l'attention grâce à quelques moments amusants, une technique assurée et un montage rythmé. Le réalisateur Martin Walz se révèle impuissant à s'élever au-delà du mince prétexte de départ. Sa réalisation s'avère plutôt molle et se dégonfle carrément dans le dernier acte, tel un pétard mouillé. Campant des personnages stéréotypés plus fous les uns que les autres, les interprètes adoptent un jeu caricatural des plus enjoués.

Texte : André Caron

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