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Le Chanteur de noces (The Wedding Singer)

Dimanche 12 Mai à 12:55 | Cinépop

É.-U. 1998. Comédie sentimentale de Frank Coraci avec Adam Sandler, Drew Barrymore, Christine Taylor. Laissé pour compte le jour de son mariage, un chanteur de noces tombe amoureux d'une jeune serveuse promise à un autre. Scénario aux situations prévisibles. Une certaine veine comique. Réalisation conventionnelle. Interprétation dans le ton.

Général
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Le Chanteur de noces (The Wedding Singer)

Général Général

É.-U. 1998. Comédie sentimentale de Frank Coraci avec Adam Sandler, Drew Barrymore, Christine Taylor.

Laissé pour compte le jour de son mariage, un chanteur de noces tombe amoureux d'une jeune serveuse promise à un autre. Scénario aux situations prévisibles. Une certaine veine comique. Réalisation conventionnelle. Interprétation dans le ton.

Année :
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Cineplex-Odeon
En 1985, l'ancien leader d'un groupe rock éphémère, Robbie Hart, chante les succès de l'heure à des banquets de noces. À cause de cet emploi peu reluisant, sa fiançée le quitte le jour même de son mariage. Désabusé, il fait la rencontre d'une jeune serveuse, Julia, qui doit se marier bientôt à un jeune yuppie égoïste et suffisant. En quelques jours, Robbie parvient à ravir le coeur de la jeune fille mais plusieurs imbroglios risquent de les séparer pour toujours.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette insipide comédie à la facture télévisuelle s'inscrit dans la longue liste des films issus de Saturday Night Live, l'émission de variétés diffusée au réseau NBC tous les samedis soirs depuis 1975. Comme tous ses prédécesseurs, Adam Sandler s'y est fait connaître avant de faire le saut au cinéma. Sa spécialité était de chanter exagérément faux dans des sketches parfois amusants. Ici, il exploite un peu le même concept en se prenant toutefois beaucoup trop au sérieux. Il s'agit en fait d'un gag de cinq minutes étiré sur la durée d'un long métrage, ce qui devient rapidement exaspérant. Le scénario enfile les lieux communs et les situations prévisibles, alors que la réalisation cherche désespérément à recréer une fausse atmosphère «rétro kitsch» visant à faire revivre l'époque des années 1980, un effort qui se révèle assez futile. Il y a bien ici et là quelques blagues qui font rire, presque malgré elles, mais elles se perdent dans une l'illustration conventionnelle et sans aucune imagination. Les interprètes pataugent dans des rôles insignifiants où Drew Barrymore se révèle particulièrement mauvaise.

Texte : André Caron

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