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King Kong II (King Kong Lives)

É.-U. 1986. Drame fantastique de John Guillermin avec Linda Hamilton, Brian Kerwin, John Ashton. Une équipe médicale universitaire de Géorgie entreprend de rendre la vie à un gorille géant en lui greffant un coeur artificiel. Point de départ absurde. Effets d'un grotesque involontaire. Trucages assez réussis. Interprétation peu convaincante.

Général
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King Kong II (King Kong Lives)

Général Général

É.-U. 1986. Drame fantastique de John Guillermin avec Linda Hamilton, Brian Kerwin, John Ashton.

Une équipe médicale universitaire de Géorgie entreprend de rendre la vie à un gorille géant en lui greffant un coeur artificiel. Point de départ absurde. Effets d'un grotesque involontaire. Trucages assez réussis. Interprétation peu convaincante.

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Paramount
Une équipe médicale universitaire de Géorgie entreprend de rendre la vie au gorille géant Kong en lui greffant un coeur artificiel. Une transfusion de sang est nécessaire, mais un aventurier a opportunément capturé sur l'île de Bornéo une guenon aux dimensions gigantesques. Une fois ranimé, Kong se libère pour rejoindre la femelle enfermée non loin. Les deux gorilles s'échappent dans la nature mais sont rejoints par des soldats qui reprennent la guenon. Kong retrouve la trace de sa compagne, maintenant enceinte, et attaque le camp militaire où on la maintient captive.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré le rendement plutôt décevant de son remake de KING KONG il y a dix ans, le producteur Dino de Laurentiis a toujours entretenu l'idée d'une suite que voici. Le point de départ de ces nouvelles aventures apparaît plutôt absurde; on se demande quel intérêt peuvent avoir des savants à dépenser une fortune pour faire revivre un tel monstre. La suite tombe souvent dans le grotesque involontaire en tentant de créer, par des effets d'une sentimentalité incongrue, un courant de sympathie pour le gorille incompris. Les trucages sont dans l'ensemble assez réussis même si certains effets font penser à un GODZILLA à l'américaine. L'interprétation manque de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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