Un assassin masqué massacre plusieurs personnes dans un centre de thérapie situé en pleine nature. Scénario sans queue ni tête. Réalisation banale. Direction d'acteurs d'un simplisme navrant.
On croyait en avoir fini avec cette série péniblement accrocheuse, destinée semble-t-il à des esprits débiles en mal de violence par procuration; la dernière livraison portait en effet comme sous-titre THE FINAL CHAPTER. Mais les producteurs persistent à exploiter le filon et la fin de ce cinquième épisode laisse prévoir une nouvelle suite. Pour le reste, on offre l'habituelle ration de trucidations horribles dans un scénario sans queue ni tête. Le nouveau metteur en scène ne fait montre d'aucune innovation stylistique et la direction d'acteurs se confine à des instructions d'un simplisme navrant.
Texte : Robert-Claude Bérubé