Shampooing (Shampoo)

Name: Shampooing
Director: Hal Ashby
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 112 min.

É.-U. 1974. Comédie de moeurs de Hal Ashby avec Warren Beatty, Julie Christie, Goldie Hawn. À Los Angeles, les aventures sentimentales d'un coiffeur pour dames qui rêve d'ouvrir son propre salon. Chassé-croisé vaudevillesque assez habilement développé. Peinture de milieu alerte mais superficielle. Personnages trop schématisés. Bonne interprétation.

Shampooing (Shampoo)

13 ans +

É.-U. 1974. Comédie de moeurs de Hal Ashby avec Warren Beatty, Julie Christie, Goldie Hawn.

À Los Angeles, les aventures sentimentales d'un coiffeur pour dames qui rêve d'ouvrir son propre salon. Chassé-croisé vaudevillesque assez habilement développé. Peinture de milieu alerte mais superficielle. Personnages trop schématisés. Bonne interprétation.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1974

Durée :

112 min.

Réalisation :

Hal Ashby

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Warren Beatty
Julie Christie
Goldie Hawn

Coiffeur pour dames à Los Angeles, George est un coureur de jupons impénitent. À l'insu de sa petite amie Jill, il a une liaison avec la femme d'un industriel, Felicia. Celle-ci l'encourage à obtenir l'appui financier de son mari, Lester, pour installer son propre salon de coiffure. À cette occasion, George retrouve une ancienne maîtresse, Jackie, qui est maintenant liée à Lester. Celui-ci invite George à une réception à l'issue de laquelle Felicia le laisse tomber. Jill le quitte et Jackie refuse ses propositions de mariage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Par divers détails, on perçoit que les auteurs ont voulu donner une certaine valeur symbolique aux démêlés sentimentaux du héros, mais ces efforts restent trop diffus. On reste avec un chassé-croisé vaudevillesque assez habilement développé et une peinture alerte mais superficielle d'un milieu dominé par le luxe et l'ennui. Certains passages ne manquent pas de force sur le plan de l'observation des moeurs et les interprètes jouent bien sans arriver pourtant à conférer une véritable existence à des personnages trop schématisés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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