Conte de la folie ordinaire (Storie di ordinaria follia)

Name: Conte de la folie ordinaire
Director: Marco Ferreri
Genre: Drame de moeurs
Duration: 101 min.

It. 1981. Drame de moeurs de Marco Ferreri avec Ben Gazzara, Ornella Muti, Tanya Lopert. Un écrivain errant et une prostituée aux obsessions suicidaires développent une relation fondée sur le désespoir et la souffrance. Intrigue inspirée des nouvelles de Charles Bukowski. Traitement grotesque et pathétique. Jeu intelligent des protagonistes.

Conte de la folie ordinaire (Storie di ordinaria follia)

16 ans +

It. 1981. Drame de moeurs de Marco Ferreri avec Ben Gazzara, Ornella Muti, Tanya Lopert.

Un écrivain errant et une prostituée aux obsessions suicidaires développent une relation fondée sur le désespoir et la souffrance. Intrigue inspirée des nouvelles de Charles Bukowski. Traitement grotesque et pathétique. Jeu intelligent des protagonistes.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1981

Durée :

101 min.

Réalisation :

Marco Ferreri

Scénario :

D'après l'oeuvre de Charles Bukowski

Pays :

Italie

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Ben Gazzara
Ornella Muti
Tanya Lopert

Un écrivain de Los Angeles, Charles Serking, mène une vie d'errance où l'alcool et les femmes tiennent une grande place. Son pied à terre est un appartement minable dans une maison appartenant à son ex-femme. Dans un bar, Serking fait la connaissance de Cass, jolie prostituée aux obsessions suicidaires. Il s'établit entre eux d'étranges relations fondées sur le désespoir et la souffrance. Pendant une absence de Serkîng, parti profiter de l'offre d'un mécène de New York, Cass se tue. En apprenant la nouvelle, l'écrivain est désemparé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Marco Ferreri a trouvé chez un écrivain américain de quoi renouveler ses fantasmes habituels tout en les prolongeant. Il en a tiré une sorte de poème douloureux sur une humanité à la dérive. Pour morcelé qu'il soit, le récit conserve une certaine unité de ton et le grotesque y alterne avec le pathétique. Il y a une grande parenté thématique et formelle entre ce film et REVE DE SINGE et l'on y retrouve aussi des échos de LA DERNIÈRE FEMME et de LA GRANDE BOUFFE. Ben Gazzara joue les épaves avec intelligence et Ornella Muti est un bel ange déchu.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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