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Spiderhead

É.-U. 2021. Science-fiction de Joseph Kosinski avec Chris Hemsworth, Miles Teller, Jurnee Smollett. Dans une prison du futur, un détenu, condamné à perpétuité, se bute au directeur, un scientifique qui cherche à reprogrammer le comportement humain. Cocktail indigeste de drame psychologique, de comédie et de film d'horreur. Réalisation maladroite, aux ruptures de ton risibles. Personnages peu crédibles, interprétés avec conviction.

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Spiderhead (Spiderhead)

É.-U. 2021. Science-fiction de Joseph Kosinski avec Chris Hemsworth, Miles Teller, Jurnee Smollett.

Dans une prison du futur, un détenu, condamné à perpétuité, se bute au directeur, un scientifique qui cherche à reprogrammer le comportement humain. Cocktail indigeste de drame psychologique, de comédie et de film d'horreur. Réalisation maladroite, aux ruptures de ton risibles. Personnages peu crédibles, interprétés avec conviction.

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Après avoir causé la mort de deux de ses amis dans un accident d'automobile, Jeff est incarcéré à Spiderhead, un pénitencier futuriste, au carrefour du centre de recherche et de la colonie de vacances. Dans l'espoir d'accélérer sa libération, le jeune détenu accepte de participer à l'expérience de réhabilitation élaborée par le directeur, Steve Abnesti. Ce scientifique croit en effet pouvoir reprogrammer les émotions et les comportements humains, par l'injection de drogues spécifiques. Découvrant la face cachée des méthodes du docteur Abnesti, Jeff entreprend d'échapper au contrôle de ce dernier, avec l'aide de Lizzy, une autre détenue de Spiderhead.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Au carrefour de FRANKENSTEIN, THE ISLAND et A CLOCKWORK ORANGE, cette production Netflix présente un cocktail indigeste de drame psychologique, de comédie et de film d'horreur. Techniquement soignée, la réalisation de Joseph Kosinski (TRON: LEGACY, OBLIVION, TOP GUN: MAVERICK) ne parvient toutefois pas à contrer les problèmes d'un scénario brinquebalant, qui semble se chercher du début à la fin. Les nombreuses ruptures de ton suscitent les rires et l'embarras, par leur utilisation de chansons pop des années 1980 et 90 en contrepoint lourdement ironique à l'action. Seul élément rédempteur: les performances des acteurs, qui interprètent avec conviction des personnages peu crédibles.

Texte : Georges Privet

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