Go to main content
5

Ne respire pas 2 (Don't Breathe 2)

É.-U. 2020. Drame d'horreur de Rodo Sayagues avec Stephen Lang, Rocci Williams, Stephanie Arcila. Un ex-militaire aveugle, qui a pris sous son aile une adolescente, combat trois vétérans désaxés qui ont envahi sa maison pour s'en prendre à la jeune fille. Suite improbable et moralement douteuse. Orgie de violence filmée de manière répétitive. Décors et images soignés. Performance intense de S. Lang. (sortie en salle: 13 août 2021)

13 ans + (violence)
5

Ne respire pas 2 (Don't Breathe 2)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2020. Drame d'horreur de Rodo Sayagues avec Stephen Lang, Rocci Williams, Stephanie Arcila.

Un ex-militaire aveugle, qui a pris sous son aile une adolescente, combat trois vétérans désaxés qui ont envahi sa maison pour s'en prendre à la jeune fille. Suite improbable et moralement douteuse. Orgie de violence filmée de manière répétitive. Décors et images soignés. Performance intense de S. Lang. (sortie en salle: 13 août 2021)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Les tendances antisociales et ultraviolentes de Norman Nordstrom se sont amplifiées après son affrontement, il y a huit ans, avec trois jeunes adultes qui avaient eu la mauvaise idée de cambrioler sa demeure. Depuis, l'ex-militaire aveugle a déménagé à la campagne, où il veille sur Phoenix, une adolescente à qui il a transmis sa méfiance des inconnus et sa passion pour l'autodéfense. Lors d'une de ses rares virées en ville, cette dernière croise trois vétérans désaxés, qui décident de la suivre jusque chez elle. Norman n'a alors d'autre choix que de reprendre du service, pour terrasser des ennemis encore plus redoutables que lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour cette suite de l'ingénieux DON'T BREATHE, les auteurs semblent s'être donnés comme projet d'humaniser leur protagoniste monstrueux, en l'opposant à pire que lui. Résultat: une orgie de violence, où l'on peine à s'identifier à qui que ce soit. Moralement douteux, l'ensemble est plombé par une prémisse peu originale, des personnages rarement crédibles et des revirements invraisemblables. Malgré une direction photo et des décors soignés, la mise en scène grand-guignolesque de cet jeu de massacre lasse lentement mais sûrement. Reste la performance intense de Stephan Lang, qui prête au redoutable Norman des airs de Roi Lear de série B.

Texte : Georges Privet

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3