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We Can Be Heroes

É.-U. 2020. Comédie fantaisiste de Robert Rodriguez avec YaYa Gosselin, Pedro Pascal, Priyanka Chopra. Des envahisseurs de l'espace kidnappent les superhéros de la Terre, forçant leurs enfants à unir leurs efforts pour les délivrer et sauver le monde. Pastiche inégal des films de superhéros. Récit délibérément puéril, mais banal contre son gré. Esthétique de série B assumée. Jeu outré, mais à la limite du supportable.

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We Can Be Heroes (We Can Be Heroes)

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É.-U. 2020. Comédie fantaisiste de Robert Rodriguez avec YaYa Gosselin, Pedro Pascal, Priyanka Chopra.

Des envahisseurs de l'espace kidnappent les superhéros de la Terre, forçant leurs enfants à unir leurs efforts pour les délivrer et sauver le monde. Pastiche inégal des films de superhéros. Récit délibérément puéril, mais banal contre son gré. Esthétique de série B assumée. Jeu outré, mais à la limite du supportable.

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Superhéros veuf, Marcus Moreno quitte la direction de la ligue des "Héroïques" pour s'occuper à temps complet de sa petite fille, l'adorable Missy. C'est alors que lui et ses collègues sont kidnappés par des envahisseurs venus de l'espace. Bien qu'elle ne possède aucun pouvoir particulier, Missy entreprend de réunir les enfants des autres justiciers. Mais elle devra d'abord les convaincre de travailler ensemble, pour délivrer leurs parents et sauver le monde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Difficile de ne pas être ému par la démarche de Robert Rodriguez, homme à tout faire, roi du système D et pape de la série B assumée qui, en alternance, réalise dans son garage et avec les moyens du bord des drames ultraviolents (SIN CITY, MACHETE) et des films pour enfants avec ses propres enfants. Son dernier-né, un pastiche des sagas Marvel, tente de faire pour les films de superhéros ce que son SPY KIDS avait réussi pour la saga James Bond. Hélas, cette fois, il rate son coup. Le scénario est délibérément puéril, mais involontairement banal; l'esthétique fauchée est assumée, mais poussée à un point critique; l'interprétation, volontairement caricaturale, est à la limite du supportable. Restent l'esprit débrouillard et bon enfant qui anime chacun des films de l'auteur, et un divertissement qui amusera malgré tout les spectateurs les plus indulgents.

Texte : Georges Privet

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