Penguin Bloom
Penguin Bloom
L'avis de Mediafilm
Adapté du roman éponyme de Cameron Bloom paru en 2016, ce rappel inspirant et sensible de la vie de l'athlète handisport Sam Bloom est beaucoup trop prévisible. Il faut dire que la métaphore de reconstruction individuelle et familiale a déjà été maintes fois employée au cinéma (THE BLIND SIDE, CHASING MAVERICKS). En outre, l'enjeu de la culpabilité, exprimé par le biais de l'enfant narrateur, s'avère plaqué et trop vite résolu. À tout le moins, quelques passages impliquant l'oiseau (apparemment réalisés sans trucages) apportent au film un surcroît de fantaisie et d'émerveillement. La mise en scène de l'Australien Glendyn Ivin (l'inédit LAST RIDE) ne brille pas par son originalité, mais elle met en valeur la joliesse de la direction photo et la composition touchante et nuancée de Naomi Watts (LUCE, BIRDMAN). Le reste de la distribution est très en retrait.
Synopsis
Le monde de Sam Bloom, ancienne championne de surf, bascule lorsqu'un grave accident, survenu durant un voyage en Thaïlande, la laisse paralysée et clouée dans un fauteuil roulant. Désormais, la mère de trois garçons turbulents doit dépendre de sa mère et de son mari, qui l'aident de leur mieux. Toutefois, Sam n'arrive pas à accepter sa condition et se laisse sombrer dans la dépression. Un jour, son fils aîné ramène à la maison une pie tombée du nid. D'abord réticente, Sam accepte de soigner l'oisillon blessé. Baptisé Penguin, celui-ci ne tarde pas à devenir un membre à part entière de la famille Bloom. Au contact de l'animal, la mère handicapée se réconcilie progressivement avec sa nouvelle vie.
Année
2020Genre
DrameDurée
95 min.Origine
AustralieBande-annonce (FR)
Bande-annonce (EN)
Bandes-annonces
Bande-annonce (FR)
Bande-annonce (EN)
Information
Genre
Drame
Année
2020
Durée
95 min.
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
D'après le livre de
Pays
Australie
États-Unis
Distribution
Netflix