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Ce qui nous sépare (Hope Gap)

Dimanche 28 Avril à 10:30 | TVA

G.-B. 2019. Drame sentimental de William Nicholson avec Bill Nighy, Annette Bening, Josh O'Connor. En visite chez ses parents dans le sud de l'Angleterre, un informaticien apprend que son père va quitter sa mère, une femme très croyante, après 29 ans de mariage. Histoire de déchirement parental peu relevée, d'inspiration autobiographique. Mise en scène languissante. Magnifique photographie. Personnages peu attachants, défendus par d'excellents interprètes.

Général
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Ce qui nous sépare (Hope Gap)

Général Général

G.-B. 2019. Drame sentimental de William Nicholson avec Bill Nighy, Annette Bening, Josh O'Connor.

En visite chez ses parents dans le sud de l'Angleterre, un informaticien apprend que son père va quitter sa mère, une femme très croyante, après 29 ans de mariage. Histoire de déchirement parental peu relevée, d'inspiration autobiographique. Mise en scène languissante. Magnifique photographie. Personnages peu attachants, défendus par d'excellents interprètes.

Année :
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Pays :
Distributeur :
TVA-Films
En visite chez ses parents dans le sud de l'Angleterre, Jamie, jeune informaticien, est pris au dépourvu en apprenant que son père Edward quitte sa mère Grace le matin même, après 29 ans de mariage. Très croyante, cette dernière prend très mal ce divorce, considérant leur union comme étant divine et inaliénable. Quand Grace sombre dans une profonde dépression, Jamie craint qu'elle ne commette l'irréparable, en se jetant de la falaise qui surplombe le littoral derrière la maison familiale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Connu principalement pour son travail de scénariste sur NELL, GLADIATOR et LES MISÉRABLES, William Nicholson n'a pas réalisé de long métrage depuis son premier film FIRELIGHT, en 1997. Force est de constater qu'il a un peu perdu la main, signant une mise en scène languissante et de facture très classique, affublée de surcroît d'une musique insipide et monotone. S'inspirant du divorce de ses propres parents, Nicholson manque visiblement de détachement face à son sujet. Il a créé un couple plutôt ennuyant, qui ne suscite guère l'engagement du spectateur. Le mari est amorphe, sans personnalité, et la femme se révèle étonnamment antipathique. Exacerbée, la douleur du fils démontre un manque flagrant de maturité émotionnelle. En revanche, la direction photo sait magnifier la beauté des décors côtiers, tandis que les trois excellents interprètes, Annette Bening en tête, font de louables efforts pour rendre leurs personnages attachants.

Texte : André Caron

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