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First Love (Hatsukoi)

Jap. 2019. Drame de moeurs de Takashi Miike avec Masataka Kubota, Nao Omori, Shota Sometani. Durant une nuit endiablée à Tokyo, un boxeur atteint d'une tumeur au cerveau et une prostituée au coeur d'or sont poursuivis par la police, les yakuzas et les triades. Mélange de genres superficiel mais jouissif, culminant en un crescendo survolté. Réalisation vive et habile, pleine d'humour et de panache. Interprétation joyeusement caricaturale.

13 ans + (violence)
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First Love (Hatsukoi)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Jap. 2019. Drame de moeurs de Takashi Miike avec Masataka Kubota, Nao Omori, Shota Sometani.

Durant une nuit endiablée à Tokyo, un boxeur atteint d'une tumeur au cerveau et une prostituée au coeur d'or sont poursuivis par la police, les yakuzas et les triades. Mélange de genres superficiel mais jouissif, culminant en un crescendo survolté. Réalisation vive et habile, pleine d'humour et de panache. Interprétation joyeusement caricaturale.

Genre :
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Un soir à Tokyo, Leo, jeune boxeur atteint d'une tumeur au cerveau, rencontre Monica, prostituée toxicomane mais encore vierge. Rapidement toutefois, les deux tourtereaux se retrouvent à la fois poursuivis par la police, les yakuzas, une tueuse envoyée par les triades chinoises et même le fantôme du père de Monica. Personne ne sortira indemne de cette nuit endiablée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec plus de cent films en trente ans, le Japonais Takashi Miike (AUDITION, SUKIYAKI WESTERN DJANGO) est sans conteste un des réalisateurs les plus prolifiques de l'histoire du cinéma. Même s'il est surtout connu pour ses films d'horreur, Miike s'est également attaqué à plusieurs autres genres, les combinant souvent de manière audacieuse. Il en est ainsi de sa nouvelle offrande, mélange superficiel mais jouissif de film noir, de comédie et de "gore", orchestré avec habileté et panache. Du reste, l'auteur fait basculer son récit du mélo à la farce pure avec une aisance, voire, une grâce étonnante. Et ce, en s'assurant que son exercice surréaliste demeure limpide et facile à suivre. Bref, son extravagant croisement entre Tarantino et Bugs Bunny fascine par son énergie folle, son esprit anarchique et son interprétation joyeusement caricaturale. Beaucoup de films aspirent à créer une forme qui transcende le fond. Celui-ci vient bien près d'y parvenir.

Texte : Georges Privet

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