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Noël tragique (Black Christmas)

É.-U. 2019. Drame d'horreur de Sophia Takal avec Imogen Poots, Aleyse Shannon, Brittany O’Grady. Sur un campus universitaire, où l'on se prépare aux vacances de Noël, quatre membres d'une sororité tentent de démasquer et de punir un tueur en série qui les poursuit. Relecture féministe peu convaincante d'un slasher de 1974. Réalisation soignée mais superficielle. Ensemble sans idées ni frissons. Interprétation quelconque. (sortie en salle: 13 décembre 2019)

13 ans + (violence)
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Noël tragique (Black Christmas)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2019. Drame d'horreur de Sophia Takal avec Imogen Poots, Aleyse Shannon, Brittany O’Grady.

Sur un campus universitaire, où l'on se prépare aux vacances de Noël, quatre membres d'une sororité tentent de démasquer et de punir un tueur en série qui les poursuit. Relecture féministe peu convaincante d'un slasher de 1974. Réalisation soignée mais superficielle. Ensemble sans idées ni frissons. Interprétation quelconque. (sortie en salle: 13 décembre 2019)

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À l'approche des Fêtes, l'activité sur le campus du Collège Hawthorne est au ralenti. Quatre étudiantes, la brillante Riley, l'athlétique Marty, l'anarchique Kris et l'épicurienne Jesse, s'apprêtent à passer leurs vacances entre filles. Mais un mystérieux tueur en série, qui semble les avoir ciblées, vient bouleverser leurs plans, et les amène à s'interroger sérieusement sur les hommes qui les entourent. Quelle que soit l'identité du tueur, une chose est sûre: en s'en prenant à elles, il a signé son arrêt de mort.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette relecture féministe peu convaincante d'un slasher de 1974 inverse avec humour les clichés d'un genre notoirement sexiste. Second remake du film de Bob Clark (après celui de 2006), BLACK CHRISTMAS possède au moins le mérite d'essayer de réinventer le genre dans lequel il s'inscrit. "Essayer" étant le maître mot de l'affaire. En effet, le mariage entre les règles du genre et ce que les auteurs tentent d'en faire est souvent forcé et maladroit. De plus, la réalisation superficielle et léchée de l'actrice Sophia Takal n'a d'égale que la distribution, composée de starlettes interchangeables et quelconques.

Texte : Georges Privet

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