Can. 2017. Documentaire de Benjamin Hogue . Fondée sur la récupération des matériaux et le détournement de sens, la démarche de BGL, trio d'artistes visuels de Québec, suscite l'admiration du marché de l'art contemporain. Portrait insatisfaisant de créateurs en marge des courants. Démarche vaguement dissidente, avare de renseignements utiles. Forme plus improvisée qu'inspirée. (sortie en salle: 26 mai 2017)
Fondée sur la récupération des matériaux et le détournement de sens, la démarche de BGL, trio d'artistes visuels de Québec, suscite l'admiration du marché de l'art contemporain. Portrait insatisfaisant de créateurs en marge des courants. Démarche vaguement dissidente, avare de renseignements utiles. Forme plus improvisée qu'inspirée. (sortie en salle: 26 mai 2017)
On ne peut qu'admirer la singularité de BGL, un trio résolument en marge des courants et des lois du marché de l'art. Dommage que le film de Benjamin Hogue nous renseigne si peu sur ce qui l'anime et sur les individus qui le composent. Admiratif de son sujet et visiblement connaisseur de l'oeuvre, Hogue signe un documentaire vaguement dissident, à la forme plus improvisée qu'inspirée.