É.-U. 2016. Drame fantastique de Anthony Russo, Joe Russo avec Chris Evans, Robert Downey Jr., Sebastian Stan. Placés sous le contrôle de l'ONU, les Avengers se scindent en deux clans, l'un favorable à cette tutelle, l'autre prônant une totale liberté d'action. Suite moins spectaculaire et plus introspective. Scénario et réalisation dans les standards du genre. Une scène d'anthologie. Jeu intense de R. Downey Jr. (sortie en salle: 6 mai 2016)
Placés sous le contrôle de l'ONU, les Avengers se scindent en deux clans, l'un favorable à cette tutelle, l'autre prônant une totale liberté d'action. Suite moins spectaculaire et plus introspective. Scénario et réalisation dans les standards du genre. Une scène d'anthologie. Jeu intense de R. Downey Jr. (sortie en salle: 6 mai 2016)
Cette suite moins spectaculaire et plus introspective explore des questions liées à l'utilisation de la force. Flashbacks douloureux sur des événements passés et échanges musclés sur des querelles présentes pimentent l'action, entre deux scènes explosives amenant l'arrivée de nouvelles recrues (les très attendus Black Panther et Spider-Man) et une séquence d'anthologie opposant douze superhéros. La mise en scène répond sans surprise aux standards du genre, pendant que le scénario - un peu plus complexe que d'habitude - permet à un Robert Downey Jr. d'explorer des dimensions jusque-là insoupçonnées de Tony Stark/Iron Man. Malgré une fin un peu abrupte, l'ensemble pave adéquatement la voie à une suite en deux parties, AVENGERS: INFINITY WAR.
Texte : Georges Privet
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Meilleur que le 2e AVENGERS mais pas meilleur que le 2 CAPITAINE AMERICA. Le scénario amènent bien les conflits, mais les batailles, bien que musclées, auraient pu être moins longues dans la dernière partie. L'intensité dramatique en est un peu dilué, d'autant plus qu'il y a multiplication de personnages. Cela n'empêche pas les apparitions amusantes de Spider-man et du Ant-man. Robert Downey Jr est convaincant face à un Chris Evans moins talentueux.
J'attribue à ce film la Cote
Stéphanie Belpèche - Le Journal du dimanche
Cet épisode soulève la question de la responsabilité [des] justiciers. (...) Plutôt que d'approfondir le débat, le film met très vite en scène l'opposition entre (...) deux leaders emblématiques, propice à des affrontements musclés. Pour essayer de compenser (...) un scénario confus, qui manque (...) d'humour.
Thomas Sotinel - Le Monde
Nicolas Schaller - Le Nouvel Observateur
Douze super-héros pour un film, (...) ça fait du monde. Pour le style et l’originalité, il n’y a personne. Après une première heure mollassonne, (...) survient la grande et efficace séquence de baston. (...) La dernière demi-heure relève un chouia le niveau de ce produit bien usiné et sans âme.
Phalène de La Valette - Le Point
Au lieu de se concentrer sur sa problématique philosophique et de l'explorer de fond en comble, [le film] multiplie (...) les surcouches scénaristiques, (...) de peur d'être pris au sérieux. (...) les réalisateurs (...) ne font que gratter la surface de leur propre sujet, [mais] grattent avec brio.
Clémentine Gallot - Libération
Marvel pousse (...) l’opportunisme marchand jusqu’à intégrer ici le teasing d’un prochain reboot entièrement consacré à son nouveau Spider-Man rajeuni, joué par Tom Holland.
Cécile Mury - Télérama
Jamais les dialogues, drôles et vifs, ne cèdent devant l'action: ils la structurent pour mieux souligner la complicité des personnages, même quand ils se balancent des torgnoles cosmiques. En bonus, (...) un Spider-Man juvénile, «môme-araignée» irrésistiblement gaffeur et tchatcheur.
Par : Jason Plante, Gatineau
EAST SIDE SUSHI. USA 2014. Drame de Anthony Lucero avec Diane Elizabeth Torres, Yutaka Takeuchi et Rodrigo Duarte Clarke. JUANNA, EMPLOYEE D'UN RESTAURANT S'INSCIRT A UN CONCOURS DE CREATEURS DE SUSHI, ET EN MEME TEMPS CONSERVER SON EMPLOI DANS UNE CUISINE JAPONAISE. Acteurs peut-etre non professionels bien exploites. Suspence leger donnant du punch entremele de cuisine japonnaise et mexicaine. J'ai ecrit cette note en esprenat que Mediafilm lui octroie, a ce film, au moins un 4, car je lui donne defenitivement la note 3...
J'attribue à ce film la Cote