Can. 2014. Drame d'horreur de David Hayter avec Lucas Till, Stephen McHattie, John Pyper-Ferguson. À la suite du meurtre sordide de ses parents, un jeune homme perturbé par des cauchemars et des pulsions meurtrières se réfugie dans un village isolé. Récit d'apprentissage prévisible et pétri de clichés. Effets visuels minimalistes, mais efficaces. Interprétation inégale. (sortie en salle: 14 novembre 2014)
À la suite du meurtre sordide de ses parents, un jeune homme perturbé par des cauchemars et des pulsions meurtrières se réfugie dans un village isolé. Récit d'apprentissage prévisible et pétri de clichés. Effets visuels minimalistes, mais efficaces. Interprétation inégale. (sortie en salle: 14 novembre 2014)
Il a vu ses scénarios prendre forme sous une véritable débauche d'effets spéciaux spectaculaires. David Hayter (WATCHMEN, X-MEN) passe maintenant derrière la caméra, avec à sa disposition des moyens techniques beaucoup plus modestes, dont il tire le meilleur avantage. Au plan visuel, à tout le moins. Car son incursion dans le film de lycanthropes cumule les clichés, au fil d'un récit d'apprentissage éminemment prévisible. Le niveau de jeu est guère plus relevé. En dehors des scènes d'action, le jeune Lucas Till (X-MEN - DAYS OF FUTURE PAST), guère crédible, ne fait pas le poids devant le vieux routier Stephen McHattie, dans le rôle du bienveillant protecteur.
Texte : André Lavoie
Isabelle Hontebeyrie - Le Journal de Montréal
Dire que WOLVES ne vole pas haut est un gentil euphémisme, ce long-métrage étant l'un des pires de l'année qui, pourtant, n'a pas manqué de fournir son lot d'atrocités en tous genres.
David Hayter - The Gazette
"The goal is to present an action thriller with a little horror to it and comedy as well. I didn’t want it to be taken too outrageously serious."
Stéphanie Vallet - La Presse
(...) un premier film raté pour le réalisateur David Hayter dont les effets spéciaux désastreux ne relèvent en rien le niveau. Sans aucun doute un des pires films de l'année, qui frôle le ridicule.
Frank Scheck - The Hollywood Reporter
(...) Till is appealing enough to carry the film, and the charismatic Momoa, looking like a debauched rocker, has infectious fun with his bad guy role. But their efforts are not above to lift WOLVES above the endless.
André Lavoie - Le Devoir
[WOLVES] constitue (...) un beau ramassis de clichés, à commencer par celui du college boy footballeur, incarné ici par Lucas Till, semblant sortir tout droit d’une réclame de dentifrice.