Anne Dessuant - Télérama
Daniele Luchetti a le chic pour créer une ambiance en un seul plan, un seul geste. Il pose un regard bienveillant sur ses personnages désorientés, qui ne savent que faire de la soudaine liberté artistique et amoureuse de ces années soixante-dix désordonnées. Le portrait de la mère (...) est le plus réussi.
Dennis Harvey - Variety
Performances are appealing, although the kids are overly wised-up in cutesy movie fashion. Pro production package could have used a more distinctive visual style, despite efforts at heightening period ambience not only though 35mm lensing but also use of retro 16mm and Super 8 formats.
Arnaud Schwartz - La Croix
Le cinéaste nourrit une certaine nostalgie, (...) alliant au classique 35 millimètres, le 16 millimètres et même le super 8. Tout n’est pas parfait dans ce long métrage qui cède à quelque facilité de mise en scène, manque d’un ton vraiment singulier, mais on y sent un élan sincère.
Barbara Théate - Le Journal du dimanche
Le réalisateur italien s'intéresse une nouvelle fois à la famille et raconte, à travers le regard d'enfants, les relations houleuses d'un couple en pleine libération sexuelle. Ça se dispute, ça crie très fort et ça pleure. On aurait aimé plus de psychologie et moins d'hystérie.
Sandra Benedetti - L'Express
Souvenirs et fiction étroitement mêlés, Luchetti brosse le quotidien d'un couple qui s'aime à grands cris, lui, muré dans son égocentrisme, (...) elle, (...) qui le quitte pour lui apprendre le goût amer de son absence. La chronique (...) anecdotique se mue alors en portrait sensuel d'une femme qui se découvre dans d'autres bras.