Alexis Campion - Le Journal du dimanche
Tourné en un seul et spectaculaire plan-séquence dans l'une des dernières enclaves arabes de Jaffa, ANA ARABIA captive d'emblée par sa tonalité singulière, entre documentaire et théâtre.
Pierre Murat - Télérama
Le réalisateur n'idéalise pas le passé: il en montre, au contraire, les peines et les douleurs. Mais il rend un hommage vibrant aux femmes qui, au nom de sentiments qui leur servaient d'idéal, et au-delà des rebuffades et des haines, croyaient à une entente possible.
Leslie Felperin - Variety
The virtuosity of the technique helps to mitigate the thinness of the material, which too often feels like notes on a legit play that have yet to be refined. (...) the film feels recognizably congruent with Gitai’s other pics, but this is not one of his more memorable efforts.
Alexandra Schwartzbrod - Libération
(...) si le conflit en cours (...) vous révulse, ce nouveau film d’Amos Gitaï est pour vous. Certes, il faut aimer la lenteur, le silence (...) ou le bruit sec d’une branche de citronnier que l’on casse entre ses doigts mais, dans le contexte actuel, l’histoire en vaut la peine.
Franck Nouchi - Le Monde
Cette histoire, Amos Gitaï a souhaité la raconter d'un seul jet, en un seul plan-séquence d'une heure et vingt et une minutes. Une histoire d'amour pas comme les autres sur une terre en principe vouée à la séparation et à la haine. Un homme et une femme, un Arabe et une Juive.