(...) BATTLESHIP, qui accumule les invraisemblances (...), ne doit pas être pris avec sérieux. À l’échelle du divertissement absurde et puéril, et à cette échelle seulement, c’est un gagnant.

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La compagnie productrice (...), Hasbro, fabrique des jouets. On lui doit déjà TRANSFORMERS 
et GI JOE. BATTLESHIP, adaptation d’un jeu (...), est le pire, car rien ne dépasse dans ce produit millimétré.

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Du bruit, de la fureur et des effets spéciaux! Contre toute attente, on est rapidement happé par le rythme, la virtuosité des effets spéciaux et l'évident second degré qui nimbe l'entreprise.

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(...) BATTLESHIP, long vacarme sonore et visuel, (...) voudrait convaincre les petits garçons de se remettre à la bataille navale et leurs aînés de s'engager dans l'US Navy.

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BATTLESHIP (...) est inspiré d’un jeu vidéo. L’océan n’est pas du tout pacifique dans ce blockbuster au scénario souvent très répétitif, rythmé par un nombre impressionnant d’explosions.

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Porté par des coups de canon, des missiles (...) et des explosions à foison, le film (...) tient ses promesses pyrotechniques (...), mais il suinte tellement la testostérone qu'il en devient insupportable.

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(...) Peter Berg (...) se lance sans retenue dans la grosse science-fiction (...). Avec des effets sonores et visuels aussi lourds que les démonstrations d'héroïsme viril. Et un manque total de fantaisie.

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