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Oslo, 31 août (Oslo, 31. august)

Norv. 2011. Drame de Joachim Trier avec Anders Danielsen Lie, Hans Olav Brenner, Ingrid Olava. Un journaliste en cure de désintoxication profite d'une permission d'un jour pour retrouver une raison de vivre. Adaptation libre du roman "Le Feu Follet" de Drieu La Rochelle. Dialogues finement ciselés. Mise en scène précise et inventive. Interprétation brillante d'Anders Danielsen Lie. (sortie en salle: 27 juillet 2012)

16 ans +
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Oslo, 31 août (Oslo, 31. august)

16 ans + 16 ans +

Norv. 2011. Drame de Joachim Trier avec Anders Danielsen Lie, Hans Olav Brenner, Ingrid Olava.

Un journaliste en cure de désintoxication profite d'une permission d'un jour pour retrouver une raison de vivre. Adaptation libre du roman "Le Feu Follet" de Drieu La Rochelle. Dialogues finement ciselés. Mise en scène précise et inventive. Interprétation brillante d'Anders Danielsen Lie. (sortie en salle: 27 juillet 2012)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Pays :
Distributeur :
EyeSteelFilm
Anders, ex-journaliste placé en centre de désintoxication, a obtenu une permission d'un jour afin qu'il puisse aller passer une entrevue d'emploi à Oslo. Dès son arrivée en ville, le toxicomane trentenaire rend visite à un ancien ami qui a fondé une famille et mène désormais une vie rangée. Bien que chacun semble envier la liberté de l'autre, Anders confie à son ami avoir des pensées suicidaires. Alors que la journée avance, ce dernier va de déception en déception. Errant dans la ville, perdu dans ses pensées et ses souvenirs, il rejoint des amis à une soirée où, à l'heure où il semble prêt à rechuter, sa rencontre avec une jeune inconnue lui apporte, se pourrait-il, un nouvel espoir?

L’AVIS DE MEDIAFILM

Joachim Trier (NOUVELLE DONNE) a actualisé et transposé dans la capitale norvégienne le roman "Le Feu Follet" de Pierre Drieu La Rochelle, publié en 1931 et adapté une première fois au cinéma par Louis Malle en 1963. Concentrant toute l'action sur vingt-quatre heures, le cinéaste varie l'approche, ponctuant de silences, de pensées livrées en voix-off et d'échappées subjectives une intrigue qui fait ressentir, plutôt que de les décrire, la dérive, la solitude et les questionnements du personnage. Les auteurs ont aussi bien dosé les dialogues, chargés de sens et bien ciselés, qui laissent deviner les blessures morales qu'Anders a infligé à ses proches. Ce dernier est brillamment incarné par le non professionnel Anders Danielsen Lie, présent dans presque toutes les scènes. Au passage, Trier rend un hommage senti à Oslo, son film brossant un portrait impressionniste de la ville où il a grandi.

Texte : Jean Beaulieu

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