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Jesus Henry Christ

G
2011
100% est d'accord avec la cote
Un génie de dix ans élevé par une féministe célibataire remonte la piste de son père biologique.
Intrigue laborieuse et datée opposant héritage familial et génétique. Quelques belles idées fantaisistes. Traitement "néo-trash" emprunté. Solide J. Spevack.

L'avis de Mediafilm

Le scénario de cette comédie noire collectionne les idées fantaisistes: bébé parlant, tornade de papillons-adhésifs, etc. Mais Dennis Lee (FIREFLIES IN THE GARDEN, inédit en salles) peine à les arrimer à son intrigue, trop laborieuse, opposant héritage familial et génétique à travers un quintette de personnages hauts en couleur mais manquant de densité psychologique. Aussi, la supra-intelligence du jeune héros, très bien campé par Jason Spevack, n'est pas vraiment porteuse de sens, sinon pour permettre quelques extravagances et revirements commodes du scénario. Du reste, le style "néo-trash" inspiré des films de Quentin Tarantino et Guy Ritchie - couleurs saturées, angles inattendus, montage à la hache - paraît plaqué. Il manque au cinéaste ce grain de folie capable d'énergiser le film et faire disparaître toutes les marques d'effort. Bien que d'une unité évidente, JESUS HENRY CHRIST est une oeuvre inaboutie dans son propos et datée dans sa forme.

Martin Bilodeau

Synopsis

Fils unique de Patricia Herman, féministe célibataire issue d'une fratrie hautement dysfonctionnelle, Henry, génie de dix ans doté d'une mémoire photographique, apprend par son grand-père qu'il a été conçu par insémination artificielle. Du même souffle, le vieux gâteux met l'enfant sur la piste de son père biologique: Slavkin O'Hara, un universitaire qui vient de faire paraître un ouvrage controversé inspiré de l'homosexualité latente de sa fille de douze ans, Audrey. Motivé par son désir de rencontrer sa demi-soeur, Henry ne tarde pas à trouver Slavkin et à s'immiscer dans sa vie. La présence de ce fils dont il ignorait l'existence réveille chez ce dernier le souvenir douloureux de la liaison de son ex-épouse avec son obstétricien, et du coup ravive ses doutes quant à son lien biologique avec Audrey. Pour leur part, Patricia est loin d'être convaincue que Slavkin est le géniteur de son fils, et Audrey, en pleine rébellion, ne demande pas mieux que d'être la fille d'un autre. Des tests sanguins s'imposent. (sortie en salle le 1 juin 2012)

Année

2011

Genre

Comédie

Durée

95 min.

Origine

États-Unis
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Bande-annonce (EN)

Information

Classification

G

Genre

Comédie

Année

2011

Durée

95 min.

Réalisation

Scénario

Photographie

Images

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