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La Saint-Valentin (Valentine's Day)

É.-U. 2010. Comédie sentimentale de Garry Marshall avec Ashton Kutcher, Jennifer Garner, Julia Roberts. Un 14 février à Los Angeles, des individus de toutes les générations, en couple ou célibataires, vivent diverses péripéties amoureuses. Scénario jovialiste mais artificiel et sans ressorts. Construction maladroite. Mise en scène mollassonne. Rythme laborieux. Interprètes gaspillés. (sortie en salle: 12 février 2010)

Général
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La Saint-Valentin (Valentine's Day)

Général Général

É.-U. 2010. Comédie sentimentale de Garry Marshall avec Ashton Kutcher, Jennifer Garner, Julia Roberts.

Un 14 février à Los Angeles, des individus de toutes les générations, en couple ou célibataires, vivent diverses péripéties amoureuses. Scénario jovialiste mais artificiel et sans ressorts. Construction maladroite. Mise en scène mollassonne. Rythme laborieux. Interprètes gaspillés. (sortie en salle: 12 février 2010)

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Los Angeles, 14 février. Au sortir du lit, un fleuriste réveille sa petite amie pour la demander en mariage. Elle accepte, provoquant chez lui une onde de joie qu'il partage avec tout le monde, depuis le marché des fleurs où il s'approvisionne, jusqu'à sa boutique, où les clients, ce jour-là, ont le coeur à la fête. Ici une institutrice, amie du fleuriste, qui ignore que son amant est marié. Là un écolier venu commander un bouquet pour sa valentine. Hors de la boutique, partout à travers la ville, des amoureux se découvrent ou se compromettent, des célibataires rongent leur frein ou célèbrent leur bienheureuse solitude. À l'heure où le soleil se couche, les couples ne sont pas tous les mêmes que ceux du matin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ces chassés-croisés dans le Los Angeles contemporain sonnent faux sur toute la ligne: un scénario jovialiste mais artificiel et sans ressorts, à l'intrigue bancale et à la construction maladroite; une mise en scène monotone et platement illustrative; un montage à la hache, totalement dépourvu de rythme. La distribution prestigieuse et éclatée s'en trouve gaspillée, malgré quelques éclats ici et là. Ainsi, Anne Hathaway, en téléphoniste érotique, tire son épingle du jeu mieux que les autres.

Texte : Martin Bilodeau

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