Morbide et d'un ennui mortel. Ça commence mal une critique, mais que voulez-vous, c'est ça qui est ça. SUNECDOCHE, NEW YORK, écrit et réalisé par Charlie Kaufman, est à l'image de son créateur : un mystérieux fouillis d'idées originales difficiles à contrôler qui partent dans toutes les directions

• http://www.canoe.com/divertissement/cinema

Tout comme les oeuvres précédentes qu’a écrites le scénariste (...), SYNECDOCHE, NEW YORK, dont Kaufman signe aussi la réalisation, est parsemé de fulgurances. Celles-ci se retrouvent cependant parfois coincées dans une mécanique très lourde, un peu comme si l’auteur cinéaste s’était fait prendre à son propre piège narratif.

• http://moncinema.cyberpresse.ca

Like an anxious artist afraid he may not get another chance, Charlie Kaufman tries to Say It All in his directorial debut (...). A wildly ambitious and gravely serious contemplation of life, love, art, human decay and death, the film bears Kaufman’s scripting fingerprints in its structural trickery and multiplane storytelling.

• http://www.variety.com

(...) malgré son talent incontestable (...), Kaufman a cédé (...) à ce désir aveugle de tout dire. (...) il ne suffit pas d'avoir de grandes idées et de nobles desseins pour livrer un grand film: SYNECDOCHE, NEW YORK, c'est l'oeuvre d'un esprit particulièrement brillant et allumé à qui il manque un habile artificier, capable de canaliser cette fièvre exceptionnelle.

• http://www.ledevoir.com/2008/11/15/216266.html

Mettant en vedette le toujours splendide Philip Seymour Hoffman, mis en valeur par une prestigieuse et impeccable distribution féminine (...), cette comédie dramatique douce-amère et délicieusement absurde à l'esthétique bric-à-brac raconte la vie sentimentale difficile d'un dramaturge qui (...) entreprend d'écrire l'oeuvre de sa vie.

• http://www.voir.ca