Can. 2008. Documentaire de Philippe Baylaucq . À la suite de la mort de son fils dans les attentats du 11 septembre 2001, un restaurateur japonais entreprend un projet pour venir en aide aux enfants afghans. Portrait touchant d'un être résilient doublé d'une émouvante ode à l'enfance. Images brutes au puissant pouvoir d'évocation. Un certain manque de cohésion. (sortie en salle: 16 janvier 2009)
À la suite de la mort de son fils dans les attentats du 11 septembre 2001, un restaurateur japonais entreprend un projet pour venir en aide aux enfants afghans. Portrait touchant d'un être résilient doublé d'une émouvante ode à l'enfance. Images brutes au puissant pouvoir d'évocation. Un certain manque de cohésion. (sortie en salle: 16 janvier 2009)
Pendant plus de quatre ans, Philippe Baylaucq («Lodela», «Hugo et le dragon») a suivi et documenté le parcours humaniste de ce père endeuillé. Il en résulte un portrait touchant d'un être résilient doublé d'une très émouvante ode à l'enfance. Les images brutes, captées sur le vif, possèdent un puissant pouvoir d'évocation. Les passages montrant les enfants afghans, ceux-ci apparemment inconscients de leur propre courage, sont particulièrement bouleversants. Cela étant, l'ensemble accuse un certain manque de cohésion narrative, impression que vient exacerber un montage un brin chaotique.
Texte : François Lévesque