Les répliques souvent banales, sinon triviales, n'ont (...) rien à voir avec les fines passes d'armes de Woody Allen. Et bien des clichés de société sont servis en repassant les couverts. Pourtant, cette histoire de couple (...) possède un potentiel comique. Il est vrai que le style libre de sa réalisation dégage un certain charme. Mais le personnage de Jack, jaloux, borné, naïf et bébête, irrite de bout en bout.

• http://www.ledevoir.com/2007/08/18/153762.html

En terme de réalisation, le tout est propre, les plans de caméra dynamiques, et l’ambiance sonore est particulièrement lêchée. Elle conjugue discrétion et subtilité, et colle à ravir à l’atmosphère intimiste et débridée du film. (...) Au final, 2 DAYS IN PARIS s’avère un film d’excellente facture, qui prouve (...) que Julie Delpy est plus qu’une actrice et qu’elle est capable de supporter le poids de la caméra aussi bien de face qu'à l’épaule.

• http://www.lexpress.to

Dans 2 DAYS IN PARIS, Julie Delpy excelle autant devant que derrière la caméra. Après avoir été sélectionnée aux Oscars en 2005 pour le scénario de BEFORE SUNSET, de Richard Linklater, qu'elle a écrit (...) avec ce dernier et Ethan Hawke, Julie Delpy continue de prouver que sa créativité ne se limite pas à ses talents d'actrice.

• http://www.voir.ca

Dialogues crus, goût de la provocation, personnages excentriques, voire caricaturaux - ses Français sont tous, plus ou moins, des Gaulois grivois: Julie Delpy ne fait pas toujours dans la dentelle mais cette liberté de ton est devenue trop rare au cinéma pour ne pas être saluée comme elle le mérite.

• http://cinema.nouvelobs.com

(...) 2 DAYS IN PARIS ne manque pas de caractère, ni d'à propos. Julie Delpy, devant et derrière la caméra, connaît parfaitement la culture française, comme la culture américaine. Son étude des particularismes possède par conséquent une saveur vacharde qui lui permet d'égratigner l'une et l'autre en toute affection.

• http://www.liberation.fr

Avec une habileté qui ne paraît jamais calculée, Julie Delpy réussit, pour sa première réalisation, à marier la séduction du cinéma d’auteur français, d’autant plus franche que les moyens sont limités et flirtent avec l’amateurisme, et celle du cinéma américain «intello», à la Woody Allen.

• http://www.telerama.fr