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Orgazmo

É.-U. 1998. Comédie satirique de Trey Parker avec Trey Parker, Dian Bachar, Robyn Lynne. Un jeune acteur mormon qui a besoin d'argent pour se marier accepte à contrecoeur de tenir la vedette dans un film porno. Humour corrosif d'un goût parfois douteux. Situations constamment caricaturales. Réalisation appropriée. Jeu sympathique de T. Parker.

16 ans + (érotisme, langage vulgaire)
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Orgazmo (Orgazmo)

16 ans + (érotisme, langage vulgaire) 16 ans + (érotisme, langage vulgaire)

É.-U. 1998. Comédie satirique de Trey Parker avec Trey Parker, Dian Bachar, Robyn Lynne.

Un jeune acteur mormon qui a besoin d'argent pour se marier accepte à contrecoeur de tenir la vedette dans un film porno. Humour corrosif d'un goût parfois douteux. Situations constamment caricaturales. Réalisation appropriée. Jeu sympathique de T. Parker.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Joe Young, un acteur mormon qui subsiste tant bien que mal en prêchant la parole de Dieu, se voit offrir un rôle dans un film porno. C'est un travail qui va contre tous ses principes religieux, mais il a besoin d'argent pour se marier. Heureusement, le rôle qu'on lui confie est celui d'un super héros masqué qu'il pourra assumer sous un pseudonyme. Mais le film remporte un tel succès que Joe devient bientôt, à son corps défendant, une grande vedette du porno. Et voilà que les circonstances l'amènent à personnifier dans la vraie vie ce justicier surnommé Orgazmo.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Trey Parker est un des auteurs de la série télévisée d'animation South Park, qui fait l'objet d'un véritable culte auprès des amateurs de comédie outrageante. Parker persiste dans la même veine d'humour corrosif au goût parfois douteux avec cette parodie des productions pornos et des films de super héros de bandes dessinées. Le budget limité dont dispose le cinéaste n'est pas un problème en soi, puisque dès le départ Parker veut recréer l'aspect indigent des films de sexe et des productions de série Z. Le scénario va dans le même sens, avec des dialogues volontairement très bêtes et des situations constamment caricaturales. Un bon nombre de gags font mouche, surtout dans les scènes de tournage de films pornos, mais l'ensemble s'avère extrêmement inégal et en vient vite à s'essouffler. Les passages les moins réussis se révèlent être ceux de la deuxième partie, lorsque le héros devient un véritable justicier armé d'un fusil capable de provoquer de violents orgasmes. L'idée est drôle une fois ou deux, mais au bout de vingt fois, on ne rit plus ! Trey Parker s'avère sympathique dans le rôle titre.

Texte : Martin Girard

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