Sixth Happiness
Sixth Happiness
L'avis de Mediafilm
Ce film est adapté de l'«autobiographie romancée» de l'écrivain Firdaus Kanga, qui joue ici son propre rôle et assure, ponctuellement, la narration. Cette présence de Kanga donne au propos une certaine authenticité. Néanmoins, malgré ce contexte autobiographique, l'allégorie et le conte ne sont jamais très loin, avec pour résultat que le film jouit d'une liberté stylistique assez sympathique. Dans cet esprit, la mise en scène de Waris Hussein est menée plutôt rondement. Le réalisateur se permet même l'audace de faire jouer à Kanga son propre personnage, de l'enfance à l'adolescence. Or, cette décision pose malheureusement un problème, car Kanga, malgré sa petite taille, ne peut masquer ses traits d'adulte. Aussi, il est peu crédible lorsqu'il interprète son personnage d'enfant ou même d'adolescent. D'autant plus que, pour simuler ces âges, l'acteur est obligé de grossir le trait. Quant aux autres acteurs, l'on conviendra qu'ils manquent eux aussi de retenue.
Synopsis
Brit Kotwal est né avec une grave maladie qui a compromis le développement de son ossature. Aussi, il est physiquement très fragile et confiné à une chaise roulante. Le jeune homme traverse tout de même de façon plutôt allègre son enfance bourgeoise à Bombay, grâce à sa mère et à sa s'ur qui lui font continuellement la fête. Seul son père, qui n'a jamais accepté le handicap de son fils, entretient avec lui une relation plus tendue.
Année
1997Genre
Drame biographiqueDurée
97 min.Origine
Grande-BretagneInformation
Classification
Genre
Drame biographique
Année
1997
Durée
97 min.
Réalisation
Pays
Grande-Bretagne
Distribution
Del Fuego
Interprètes