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Sept Semaines d'attente (Booty Call)

13
1997 · Booty Call (ang)
100% est d'accord avec la cote
Deux copains s'efforcent de convaincre leurs petites amies de coucher avec eux.
Satire réduite à une grosse farce facile. Nombreux stéréotypes. Traitement totalement dénué de finesse. Interprétation vigoureuse de personnages fort limités.

L'avis de Mediafilm

La nouvelle réalité en matière de protection sexuelle est ici l'objet d'une satire qui s'amorce plutôt bien, pour ensuite dégénérer dans une farce grossière et insipide. Sur un canevas narratif extrêmement mince, le réalisateur a greffé des situations comiques qui parviennent rarement à tirer profit du sujet. Les personnages eux-mêmes sont vite réduits à des caricatures ou à des stéréotypes ambulants (le chauffeur de taxi paranoïaque, les épiciers pakistanais, le serveur homosexuel, etc.). La plupart des gags se réfèrent évidemment au sexe, ce qui ne tarde pas à confiner l'ensemble dans un humour puéril. La réalisation est à l'avenant, c'est-à-dire dépourvue de la moindre subtilité ou finesse. Les interprètes se dépensent vigoureusement dans des rôles malheureusement fort limités.

Martin Girard

Synopsis

Nikki éprouve beaucoup d'affection pour son petit ami Rushon, mais elle ne se sent pas encore prête à coucher avec lui. Déjà frustré par la situation, Rushon doit en plus subir les moqueries de son copain Bunz. Mais un jour, le jeune homme avoue qu'il en a assez d'attendre et décide de séduire Nikki durant la soirée. L'ennui, c'est que celle-ci est venue accompagnée de sa copine Lysterine. Rushon demande donc à Bunz de se joindre à eux. Tout irait maintenant pour le mieux, si seulement le chien de Nikki n'avait pas détruit le dernier condom de Rushon...

Année

1997

Genre

Comédie

Durée

79 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

13

Genre

Comédie

Année

1997

Durée

79 min.

Réalisation

Pays

États-Unis

Distribution

Columbia