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Mon ami Willy 3: Le Sauvetage (Free Willy 3: The Rescue)

É.-U. 1997. Aventures de Sam Pillsbury avec Jason James Richter, August Schellenberg, Annie Corley. Un gamin découvre que son père se livre à des actes illégaux d'harponnage de baleines. Film de série sans grande surprise. Quelques détails attachants. Paysages naturels joliment photographiés. Interprétation convenable.

Général
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Mon ami Willy 3: Le Sauvetage (Free Willy 3: The Rescue)

Général Général

É.-U. 1997. Aventures de Sam Pillsbury avec Jason James Richter, August Schellenberg, Annie Corley.

Un gamin découvre que son père se livre à des actes illégaux d'harponnage de baleines. Film de série sans grande surprise. Quelques détails attachants. Paysages naturels joliment photographiés. Interprétation convenable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Max est au septième ciel quand son père John accepte de l'emmener en excursion de pêche. Le gamin déchante rapidement quand il réalise que son papa se livre à des actes illégaux d'harponnages de baleines. Pendant ce temps, l'adolescent Jesse, un ami de longue date de l'orque Willy, mène sa petite enquête sur les activités de John. En s'embarquant clandestinement sur le chalutier du pêcheur, Jesse fait la connaissance de Max. Les deux jeunes sympathisent rapidement et collaborent pour sauver la vie des cétacés menacés par John.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Troisième épisode d'une série à succès, ce film ne risque pas de bouleverser les conventions du cinéma familial. En effet, tous les lieux communs du genre s'y trouvent réunis sans grand effort de renouvellement de la part de l'auteur. Le message écologique est tartiné sans grande subtilité au fil d'une intrigue linéaire et prévisible au possible. Heureusement, l'amitié entre les deux jeunes héros comporte des aspects attachants et s'avère en fin de compte assez crédible. Par ailleurs, il faut reconnaître que le scénario nous épargne le manichéisme à outrance qui sévit si souvent dans ce genre de production. Ainsi, le pêcheur de baleines est décrit avec quelques nuances et agit par nécessité plutôt que par méchanceté. La réalisation profite amplement, et de façon parfois spectaculaire, des paysages naturels de la Colombie-Britannique et du caractère éminemment photogénique des cétacés. L'interprétation s'avère adéquate pour le genre.

Texte : Martin Girard

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