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Maman, je m'occupe des méchants (Home Alone 3)

É.-U. 1997. Comédie de Raja Gosnell avec Alex D. Linz, Olek Krupa, Rya Kihlstedt. Un gamin laissé seul à la maison se fait une joie de repousser des cambrioleurs en concoctant à leur intention une série de pièges astucieux. Film de série reprenant grosso modo l'intrigue du premier épisode. Enfilade de gags infantiles. Technique au point. Interprétation dans le ton voulu.

Général
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Maman, je m'occupe des méchants (Home Alone 3)

Général Général

É.-U. 1997. Comédie de Raja Gosnell avec Alex D. Linz, Olek Krupa, Rya Kihlstedt.

Un gamin laissé seul à la maison se fait une joie de repousser des cambrioleurs en concoctant à leur intention une série de pièges astucieux. Film de série reprenant grosso modo l'intrigue du premier épisode. Enfilade de gags infantiles. Technique au point. Interprétation dans le ton voulu.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Le petit Alex Pruitt a la varicelle, ce qui l'empêche de se rendre à l'école. Ses parents l'ayant laissé seul à la maison, le gamin doit se débrouiller sans eux lorsque quatre cambrioleurs se manifestent. Les malfaiteurs sont à la recherche d'un microprocesseur dissimulé dans un jouet d'Alex. Loin d'être intimidé par ces méchants personnages, le gamin se fait une fête de les repousser en concoctant à leur intention une série de pièges astucieux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Plutôt que de constituer une suite aux aventures des deux premiers HOME ALONE, ce nouvel avatar représente plutôt un véritable «remake» du premier épisode. Macaulay Culkin étant trop âgé pour reprendre une troisième fois le rôle qui l'a rendu célèbre, les producteurs ont dû recommencer à zéro avec un autre acteur enfant et de tout nouveaux personnages. Mais le scénariste John Hughes ne s'est pas trop forcé en ce qui a trait à l'intrigue, puisqu'il se contente de reprendre grosso modo celle du premier film en changeant simplement quelques éléments. Que dire de plus? Les enfants vont sans doute s'amuser au moins un peu, surtout que ce style d'humour physique leur semble tout à fait destiné. La technique est au point et les interprètes jouent avec le degré de caricature clownesque qu'exigent leurs rôles. Bref, c'est du travail fait avec métier, du cinéma de série usiné sans la moindre originalité, mais avec le minimum requis d'efficacité pour constituer un divertissement passable.

Texte : Martin Girard

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