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Le Monde perdu: Jurassic Park (The Lost World: Jurassic Park)

É.-U. 1997. Science-fiction de Steven Spielberg avec Jeff Goldblum, Julianne Moore, Pete Postlethwaite. Deux expéditions rivales se rendent sur une île peuplée de dinosaures. Suite prévisible d'un film à succès. Intrigue passe-partout prétexte à scènes d'action. Réalisation énergique. Passages saisissants. Interprétation rompue au genre.

13 ans +
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Le Monde perdu: Jurassic Park (The Lost World: Jurassic Park)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1997. Science-fiction de Steven Spielberg avec Jeff Goldblum, Julianne Moore, Pete Postlethwaite.

Deux expéditions rivales se rendent sur une île peuplée de dinosaures. Suite prévisible d'un film à succès. Intrigue passe-partout prétexte à scènes d'action. Réalisation énergique. Passages saisissants. Interprétation rompue au genre.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
David Koepp
D'après le roman de Michael Crichton
Photographie :
Musique :
Montage :
Le docteur Ian Malcolm apprend qu'une deuxième île servait d'incubateur naturel aux dinosaures du premier parc jurassique. Sa compagne, la paléontologue Sarah Harding, est déjà sur place pour observer les moeurs de ces terribles lézards. Animé d'une peur panique, Malcolm la rejoint afin de la convaincre de l'inévitable danger qui la menace. Arrivé sur les lieux, le scientifique constate également la présence d'un groupe de chasseurs chargés de rapporter un dinosaure pour un zoo de San Diego.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après trois ans d'absence, Steven Spielberg se refait la main sur l'inévitable suite de JURASSIC PARK, le film ayant connu le plus grand succès commercial à ce jour. Écartant rapidement toute trace du discours scientifique qui alimentait le roman de Michael Crichton, Spielberg s'enligne sur une intrigue passe-partout et prévisible qui lui permet cependant d'enfiler des scènes d'action enlevées et des morceaux de bravoure à tout rompre. Il ne manque pas de citer au passage ses influences, que ce soit HATARI!, KING KONG, GORGO ou GODZILLA. N'ayant rien perdu de son assurance ni de son énergie, sa réalisation comporte plusieurs idées formelles saisissantes. Plus nombreux, plus bruyants et plus agiles que dans l'original, les dinosaures sont encore une fois les véritables vedettes du film, même si l'effet de surprise a désormais disparu. Ce sont plutôt les interprètes qui étonnent par leur jeu solide, surtout Jeff Goldblum que Spielberg s'amuse à diriger et à cadrer comme un tyrannosaure.

Texte : André Caron

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