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The Cockroach That Ate Cincinnati

G
1996 ·
100% est d'accord avec la cote
Divers monologues récités par le comédien Alan Williams sur le thème de la culture populaire.
Exercice humoristique au style plutôt brouillon. Comique sarcastique. Ensemble parfois lassant. Performance rageuse de A. Williams.

L'avis de Mediafilm

Furieux, sarcastique et rebelle, Alan Williams, alias Le Capitaine, incarne la désillusion de toute une génération qui a cru dans les années 1960 que la culture rock allait véritablement et pour toujours révolutionner le monde. Mise à part une intrigue fictive plutôt insipide entourant les efforts d'une documentariste voulant tourner un film sur Williams, l'ensemble de THE COCKROACH THAT ATE CINCINNATI est constitué de longs monologues récités par le comédien sur des sujets divers. Passant souvent du coq à l'âne, le comédien pratique un humour sarcastique et rageur qui ne fait pas dans la dentelle. Sa vision misanthropique de la société n'est cependant guère inspirante. Ressemblant à un film d'étudiant brouillon, l'ensemble finit par vite lasser. En fait, ces monologues seraient plus digestibles par petite dose, plutôt que dans un long métrage.

Martin Girard

Synopsis

Rendu célèbre par une série de spectacles solos présentés dans les années 1980 à Toronto, le comédien Alan Williams s'est créé un personnage de hippie vieillissant et désenchanté qui est devenu son porte-parole dans ses monologues. Surnommé Le Capitaine, ce personnage nous entretient de tout ce qui l'agace dans la culture contemporaine, de la musique punk à «Apocalypse Now».

Année

1996

Genre

Film d'essai

Durée

95 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Film d'essai

Année

1996

Durée

95 min.

Réalisation

Pays

Canada

Distribution

Cineplex-Odeon