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L'Homme idéal

Can. 1996. Comédie de George Mihalka avec Marie-Lise Pilote, Macha Grenon, Patrice L'Écuyer. Une femme célibataire de trente-cinq ans recherche l'homme idéal pour concevoir un enfant. Caricature plutôt forcée. Personnages conçus à grands renforts de clichés. Gags nombreux mais inégaux. Mise en scène moyenne. Interprétation enjouée.

Général
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L'Homme idéal (L'Homme idéal)

Général Général

Can. 1996. Comédie de George Mihalka avec Marie-Lise Pilote, Macha Grenon, Patrice L'Écuyer.

Une femme célibataire de trente-cinq ans recherche l'homme idéal pour concevoir un enfant. Caricature plutôt forcée. Personnages conçus à grands renforts de clichés. Gags nombreux mais inégaux. Mise en scène moyenne. Interprétation enjouée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Producteurs :
Rédactrice en chef d'un magazine de mode, Lucie vient de franchir le cap des trente-cinq ans. Bien qu'elle ne soit présentement attachée à personne sentimentalement, la jeune femme décide qu'il est temps pour elle d'avoir un enfant. Elle se lance donc à la recherche du candidat parfait, mais les hommes qu'elle rencontre n'arrivent jamais à la satisfaire pleinement. L'homme idéal est pourtant plus près qu'elle ne le croit...

L’AVIS DE MEDIAFILM

À l'instar de plusieurs autres comédies québécoises récentes (LA FLORIDA, LOUIS 19 LE ROI DES ONDES), cette caricature prétend offrir des réflexions satiriques sur certains travers de la société québécoise actuelle. Le thème des relations hommes/femmes se nourrit ici malheureusement de dialogues encombrés de stéréotypes. Aucun personnage, qu'il soit masculin ou féminin, n'échappe à une conception schématique et alimentée des clichés les plus usés. Cependant, les gags, au demeurant fort inégaux, déferlent sans répit, si bien que l'ensemble peut amuser et divertir le spectateur indulgent. Le rythme demeure malheureusement un peu pesant, surtout que l'intrigue est essentiellement constituée de sketches alignés sans véritable structure digne de ce nom. Le peu de finesse et de variété dans la mise en scène (les personnages sont presque toujours en train de bavarder autour d'une table, assis à un bar ou en marchant dans un couloir ou sur le trottoir) sont en partie compensées par un certain soin dans la photographie. Les interprètes jouent avec entrain.

Texte : Martin Girard

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