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L'Armée souterraine (Screamers)

Can. 1995. Science-fiction de Christian Duguay avec Peter Weller, Jennifer Rubin, Roy Dupuis. En 2078, sur une planète minière, des soldats affrontent des robots programmés pour s'attaquer aux humains. Anticipation à rabais accumulant les poncifs du genre. Suspense laborieux aux développements artificiels. Rythme incertain. Savoir-faire de la réalisation. Interprétation souvent fade.

13 ans + (violence)
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L'Armée souterraine (Screamers)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Can. 1995. Science-fiction de Christian Duguay avec Peter Weller, Jennifer Rubin, Roy Dupuis.

En 2078, sur une planète minière, des soldats affrontent des robots programmés pour s'attaquer aux humains. Anticipation à rabais accumulant les poncifs du genre. Suspense laborieux aux développements artificiels. Rythme incertain. Savoir-faire de la réalisation. Interprétation souvent fade.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Allegro
Producteurs :
En 2078, le New Economic Bloc (NEB) contrôle la planète minière Sirius 6B grâce à une armée de «screamers», des robots-tueurs programmés pour éliminer tout intrus. Parti en mission de reconnaissance, le colonel Hendricksson constate cependant que les screamers ont commencé à se reproduire et que les nouveaux modèles ont pris forme humaine, menaçant ainsi toute la colonie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il semble que le réalisateur Christian Duguay veuille faire de la science-fiction son genre de prédilection, même si ses deux films précédents, SCANNERS II et III, frôlaient le ridicule et la caricature involontaire. Bien qu'il bénéficie cette fois-ci de moyens plus confortables, de comédiens de talents et d'un scénariste renommé (Dan O'Bannon a écrit ALIEN et TOTAL TECALL), Duguay ne parvient pas avec SCREAMERS à se hisser au-dessus d'un concept éculé qui ressasse tous les poncifs du genre. Sa réalisation démontre un bon savoir-faire technique et se révèle par moments nerveuse, mais l'ensemble manque de rythme et le suspense devient très laborieux. Si la photographie et les effets spéciaux offrent un certain cachet, des développements artificiels et des personnages sans reliefs provoquent l'ennui. L'interprétation s'avère souvent fade.

Texte : André Caron

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