La Planche du diable (Witchboard: The Possession)
La Planche du diable (Witchboard: The Possession)
L'avis de Mediafilm
Tourné à Montréal avec un budget visiblement limité, ce drame d'horreur imite de piètre façon l'un des chefs-d'oeuvre du genre, Rosemary's Baby de Roman Polanski. Or, la comparaison fait ressortir cruellement les faiblesses de cette pauvre copie: suspense anémique, effets de terreur ratés, personnages simplistes, absence totale d'émotion ou de profondeur et mise en scène dépourvue de style. Comme s'il n'avait pas déjà les mains pleines à vouloir singer Polanski, l'auteur en rajoute en essayant de marcher sur les brisées de quelques autres classiques contemporains de l'horreur, tels The Exorcist (le thème de la possession diabolique) et Carrie (le thème de la télékinésie). Aux prises avec des personnages au comportement souvent ridicule, les interprètes ne sont pas à la hauteur.
Synopsis
Quelque temps après avoir connu l'étrange propriétaire de l'immeuble où il habite, Brian est témoin du suicide de celui-ci. Dans le logement du défunt, il s'empare d'une planchette Ouija dont les pouvoirs surnaturels lui permettent de s'enrichir à la bourse. Mais voilà qu'un esprit démoniaque s'échappe du Ouija pour venir habiter le corps de Brian. Cet être maléfique entend procréer avec July, l'épouse du jeune homme possédé.
Année
1995Genre
Drame d'horreurOrigine
CanadaInformation
Genre
Drame d'horreur
Année
1995
Réalisation
Pays
Canada
Distribution
Alliance Vivafilm
Interprètes