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Desperado

É.-U. 1995. Drame de Robert Rodriguez avec Antonio Banderas, Joaquim de Almeida, Salma Hayek. Dans le Nord du Mexique, un jeune mariachi, dont l'étui de guitare est bourré d'armes, affronte le trafiquant de drogues qui a tué sa bien-aimée. Remâchage des situations et des personnages stéréotypés. Exercice de style exubérant parsemé d'un humour bon enfant. Certains morceaux de bravoure. Magnétisme de la vedette.

13 ans + (violence)
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Desperado (Desperado)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1995. Drame de Robert Rodriguez avec Antonio Banderas, Joaquim de Almeida, Salma Hayek.

Dans le Nord du Mexique, un jeune mariachi, dont l'étui de guitare est bourré d'armes, affronte le trafiquant de drogues qui a tué sa bien-aimée. Remâchage des situations et des personnages stéréotypés. Exercice de style exubérant parsemé d'un humour bon enfant. Certains morceaux de bravoure. Magnétisme de la vedette.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Précédé d'une réputation légendaire, un jeune mariachi arrive dans une ville du Nord du Mexique pour affronter Bucho, un trafiquant de drogues qui a tué sa bien-aimée. Flanqué d'un étui de guitare bourré d'armes et de munitions, le mariachi sème rapidement la panique et la mort parmi les hommes du truand. Claquemuré dans une hacienda fortifiée, Bucho se charge alors d'éliminer lui-même ce coriace adversaire, sans se douter que le guitariste est son propre frère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ayant épaté la galerie avec son premier film EL MARIACHI, le jeune réalisateur hispano-américain Robert Rodriguez a obtenu d'Hollywood un budget confortable et un casting étonnant pour concocter ce qui n'est, après tout, qu'un remake gonflé du précédent. En effet, l'auteur ressasse les situations et les personnages stéréotypés d'EL MARIACHI sans chercher à raffiner son propos, toujours aussi brouillon. Certains morceaux de bravoure impressionnent par leur rythme vigoureux et leur ingéniosité technique, mais ils sont entrecoupés de longues scènes composant une idylle amoureuse aussi artificielle qu'inutile. Il en résulte un exercice de style exubérant qui est heureusement parsemé d'un humour bon enfant et agrémenté d'une musique endiablée. Antonio Banderas apporte à son personnage un magnétisme animal et une sensualité latine qui embrasent l'écran.

Texte : André Caron

COMMENTAIRES

27 juillet 2019, 13:41:26

Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières

Salma Hayek est sensuelle à souhait et Banderas a bien sûr du charisme. C'est comme du sous-Tarantino, mais le résultat est loin d'être désagréable.

J'attribue à ce film la Cote 3


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