Go to main content
5

Corrina, Corrina

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Jessie Nelson avec Whoopi Goldberg, Ray Liotta, Tina Majorino. Dans les années 1950, une idylle naît entre un jeune veuf et la gouvernante noire qu'il a engagée pour veiller sur sa fillette. Récit familier et prévisible. Humour omniprésent. Personnages attachants. Recréation soignée mais un peu trop idéaliste de l'époque. Interprétation sincère.

Général
5

Corrina, Corrina (Corrina, Corrina)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Jessie Nelson avec Whoopi Goldberg, Ray Liotta, Tina Majorino.

Dans les années 1950, une idylle naît entre un jeune veuf et la gouvernante noire qu'il a engagée pour veiller sur sa fillette. Récit familier et prévisible. Humour omniprésent. Personnages attachants. Recréation soignée mais un peu trop idéaliste de l'époque. Interprétation sincère.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Après la mort prématurée de son épouse, le jeune musicien Manny Singer se retrouve seul pour élever sa fillette Molly. Il décide donc d'engager une gouvernante pour veiller sur l'enfant qui s'est enfermée dans un mutisme inébranlable depuis la disparition de sa mère. Manny choisit Corrina, une jeune Noire joviale et chaleureuse qui ne tarde pas à gagner la confiance et la sympathie de Molly. La fillette voit bientôt en elle la candidate idéale pour devenir sa nouvelle maman, d'autant plus qu'elle se rend bien compte que son papa éprouve lui aussi de l'affection pour Corrina. Mais en ces années 1950, une idylle entre un Blanc et une Noire fait beaucoup jaser. Manny et Corrina doivent donc surmonter les préjugés de leur entourage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'attaquant à un sujet pour le moins familier, cette histoire toute simple n'explore aucun territoire nouveau au plan social ou psychologique. Par contre, l'humour omniprésent et le caractère attachant des personnages rendent l'ensemble agréable, à défaut d'être transcendant. Ainsi, la réalisatrice évite le plus souvent les pièges du mélodrame en désamorçant par le rire la sensiblerie qui menace ici et là d'envahir les situations. Malheureusement, le récit évolue de façon bien prévisible et s'essouffle vers la fin. Par ailleurs, la mise en scène recrée le climat des années 1950 de façon assez soignée, bien qu'un peu trop idéaliste, tout en mettant en valeur le jeu sincère des interprètes.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3