Blue Chips

Name: Blue Chips
Director: William Friedkin
Genre: Drame sportif
Duration: 110 min.

É.-U. 1994. Drame sportif de William Friedkin avec Nick Nolte, Mary McDonnell, Ed O'Neill. L'entraîneur d'une équipe de basketball collégial recrute illégalement quatre joueurs d'élite en dehors du circuit universitaire. Dénonciation de la corruption dans le sport. Réalisation dynamique servie par un montage nerveux. Personnages superficiellement développés. Jeu énergique de N. Nolte.

Blue Chips (Blue Chips)

Général

É.-U. 1994. Drame sportif de William Friedkin avec Nick Nolte, Mary McDonnell, Ed O'Neill.

L'entraîneur d'une équipe de basketball collégial recrute illégalement quatre joueurs d'élite en dehors du circuit universitaire. Dénonciation de la corruption dans le sport. Réalisation dynamique servie par un montage nerveux. Personnages superficiellement développés. Jeu énergique de N. Nolte.

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Genre :

Drame sportif

Année :

1994

Durée :

110 min.

Réalisation :

William Friedkin

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Nick Nolte
Mary McDonnell
Ed O'Neill

Entraîneur-vedette des Dolphins de la Western University, Pete Bell accepte mal la série de défaites qu'essuie son équipe de basketball. Cherchant à tout prix à améliorer le calibre de la formation, Bell se voit forcé de recruter quatre joueurs d'élite en dehors du circuit universitaire. Il sollicite alors l'aide d'un administrateur de l'université qui n'hésite pas à soudoyer ces athlètes exceptionnels. Fermant les yeux sur ces méthodes illégales, l'entraîneur s'emploie alors à conduire les Dolphins à la victoire. Mais après le dernier match, rongé parles remords et la culpabilité, Bell se décide à sonner le glas de cette affaire de corruption.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Travaillant sur un canevas maintes fois utilisé dans des films sportifs comme SLAP SHOT ou THE LONGEST YARD, William Friedkin tente de déjouer les conventions du genre en exposant la corruption comme une résultante inévitable de la compétition à outrance. Grâce à une réalisation dynamique et à un montage nerveux, Friedkin entraîne le spectateur dans l'étourdissante valse du recrutement, des exercices pratiques et des matchs, pour aboutir finalement sur une dénonciation exposée avec une surprenante sobriété, véritable douche froide après la fièvre de la compétition. Le propos est cependant desservi par les limites visuelles du basketball et par des personnages superficiellement développés. Nick Nolte offre un jeu fort énergique.

Texte : André Caron

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