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La Maison aux esprits (The House of the Spirits)

All. 1993. Chronique de Bille August avec Jeremy Irons, Meryl Streep, Winona Ryder. Les tribulations d'un riche propriétaire terrien sud-américain qui se comporte de façon intransigeante envers les siens. Adaptation d'un roman d'Isabel Allende. Accent mis sur la fresque sociale. Éléments mélodramatiques. Mise en scène académique mais vigoureuse. Distribution prestigieuse.

13 ans +
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La Maison aux esprits (The House of the Spirits)

13 ans + 13 ans +

All. 1993. Chronique de Bille August avec Jeremy Irons, Meryl Streep, Winona Ryder.

Les tribulations d'un riche propriétaire terrien sud-américain qui se comporte de façon intransigeante envers les siens. Adaptation d'un roman d'Isabel Allende. Accent mis sur la fresque sociale. Éléments mélodramatiques. Mise en scène académique mais vigoureuse. Distribution prestigieuse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
En 1926, dans un pays d'Amérique du Sud, Esteban Trueba, d'extraction modeste, souhaite épouser Rosa, issue d'une riche famille. Mais son rêve s'écroule lorsque la jeune femme meurt empoisonnée. Dix-huit ans plus tard, devenu un riche propriétaire terrien, Esteban épouse Clara, la douce soeur de Rosa, dotée d'étranges pouvoirs. Brutal et intransigeant, Trueba voit d'un mauvais oeil l'amitié qui lie sa soeur Ferula à Clara, tout comme il s'oppose violemment aux amours de sa fille Blanca avec Pedro, le fils socialiste de son contremaître. Cependant, au début des années 70, lors d'un putsch militaire qui met fin au gouvernement réformiste, son fils illégitime si longtemps ignoré se vengera cruellement de lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Qu'on le veuille ou non, lorsqu'un réalisateur remporte deux palmes d'or d'affilée, il ne peut que générer de grandes attentes. Hélas, HOUSE OF THE SPIRITS n'est pas à la hauteur des oeuvres précédentes de BILLE AUGUST. Fidèle à lui-même, il a mis en scène cette saga familiale dans un style autant académique que vigoureux, mais cette fois, il n'a pu empêcher son récit de verser fréquemment dans la sauce mélodramatique. De plus, en privilégiant la fresque sociale au détriment du réalisme magique qui imprègne le roman, August a réduit les quelques passages surnaturels à de simples éléments décoratifs qui ne font guère avancer l'action. Néanmoins, Jeremy Irons et Glenn Close s'imposent au sein d'une distribution triée sur le volet.

Texte : Louis-Paul Rioux

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