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House of Cards

G
1993 ·
100% est d'accord avec la cote
La veuve d'un archéologue espère la guérison de sa fillette autistique.
Ensemble sensible et poétique. Approche originale plus spirituelle que médicale du problème de l'autisme. Mise en scène attentive aux détails. Interprétation solide.

L'avis de Mediafilm

Michael Lessac a réalisé un film sensible et poétique qui aborde de façon originale le problème de l'autisme, en choisissant d'en souligner le côté spirituel plutôt que médical. C'est donc à dessein que le cinéaste s'éloigne de l'habituel scénario à consonances psychologiques pour élaborer un discours où priment les images mentales et le non-dit. Le résultat peut paraître un peu ésotérique mais il est sincère et très senti. La mise en scène demeure attentive aux moindres détails de comportements, en plus de receler maintes idées purement cinématographiques. L'interprétation est solide.

Johanne Larue

Synopsis

Quelques mois après la mort de son mari archéologue, Ruth Matthews quitte le Mexique avec ses deux enfants pour retourner s'établir aux Etats-Unis. Dès leur arrivée, Ruth et son fils remarquent que la petite Sally ne leur adresse plus la parole. La direction de son école finit d'ailleurs par envoyer un psychologue chez elle. Au grand désespoir de Ruth, le docteur Jake Beerlander diagnostique l'autisme chez la petite. Ruth espère la guérison de son enfant mais pas au prix des pénibles soins de Beerlander. La mère et sa fille trouveront alors ensemble une façon de communiquer.

Année

1993

Genre

Drame psychologique

Durée

107 min.

Origine

États-Unis

Information

Classification

G

Genre

Drame psychologique

Année

1993

Durée

107 min.

Réalisation

Pays

États-Unis

Distribution

C/FP